La déficience intellectuelle : connaître, comprendre, intervenir

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Référence bibliographique [3069]

Juhel, Jean-Charles. 2006. La déficience intellectuelle : connaître, comprendre, intervenir. Sainte-Foy: Presses de l’Université Laval, Chronique sociale.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cet ouvrage, qui s’inscrit dans cette philosophie de la valorisation des rôles sociaux, s’adresse d’abord aux intervenants. Il veut leur donner un portrait des connaissances actuelles sur la déficience intellectuelle. Les différentes approches d’intervention présentées visent l’intégration de la personne ayant une déficience intellectuelle dans notre société, puisque, dans le contexte actuel de la normalisation, cette intégration devient un objectif prioritaire.» (Avant-propos)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Le premier chapitre présente un bref historique de la prise en charge de la personne ayant une déficience intellectuelle depuis l’antiquité à nos jours et les droits concernant la personne ayant une déficience intellectuelle. Le chapitre 2 définit la déficience intellectuelle telle qu’elle est perçue actuellement par le réseau de la santé et par les différents organismes d’adaptation-réadaptation. Il aborde ensuite les causes possibles de la déficience intellectuelle. Le chapitre 3 traite des aspects particuliers du développement de la personne trisomique en vue de favoriser une plus grande compréhension de ses besoins. Le chapitre 4 décrit l’univers de la personne présentant une déficience intellectuelle; ce chapitre aidera l’intervenant à mieux comprendre cette personne, ainsi que l’importance du rôle de la famille et du milieu dans son intégration sociale. Le chapitre 5 propose des moyens et des stratégies pour aider l’intervenant. Des exemples de techniques y sont présentés. Le chapitre 6 aborde l’affectivité chez la personne ayant une déficience intellectuelle et le rôle important de l’intervenant dans son savoir-être et son savoir-faire. Enfin, le dernier chapitre aborde l’autisme. Diverses personnes ne considèrent pas l’autisme comme une déficience intellectuelle. C’est pourquoi nous l’avons traité à part et à la fin de cet ouvrage. » (Avant-propos)