Pratiques sociales auprès des aînés en perte d’autonomie et de leur entourage
Pratiques sociales auprès des aînés en perte d’autonomie et de leur entourage
Pratiques sociales auprès des aînés en perte d’autonomie et de leur entourage
Pratiques sociales auprès des aînés en perte d’autonomie et de leur entourages
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Référence bibliographique [3003]
Mainville, Josée. 2006. «Pratiques sociales auprès des aînés en perte d’autonomie et de leur entourage». Essai de maîtrise, Sherbrooke, Université de Sherbrooke, Département de service social.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : « Le présent essai [vise] deux objectifs. Le premier objectif [est] de faire état des connaissances sur la perte d’autonomie des aînés québécois et des prises en charge familiales de ces aînés par leur entourage immédiat. [...] Le deuxième objectif de cet essai [est] de proposer des recommandations afin de soutenir les intervenants sociaux oeuvrant dans le secteur du soutien à domicile dans leur pratique. » (p. 84)
2. Méthode
Type de traitement des données : Essai
3. Résumé
« Le premier chapitre [décrit] l’état actuel du vieillissement de la population et de sa prise en charge. [...] Principalement [appuyé] sur la revue de littérature de Dow et McDonanl (2003), [le deuxième chapitre] démontre que quatre théories influencent les pratiques sociales sur le caregiving, soit la théorie du stress et de l’adaptation, la théorie des approches interprétatives, la théorie systémique et les approches structurelles, incluant les approches féministes. Cependant, une approche additionnelle influence la pratique sociale québécoise, la gestion de cas qui est un élément du courant de l’intégration des services. [...] [Le troisième chapitre] présente l’intervention de réseau mais elle rapporte également que les aînés ont des réseaux sociaux élaborés tant qu’ils sont en bonne santé. En effet, la maladie et la perte d’autonomie affectent l’environnement relationnel des personnes âgées. [...] Le quatrième et dernier chapitre propose quatre recommandations pour soutenir les intervenants sociaux dans leur pratique auprès de personnes ayant des incapacités. » (pp. 84-85)