La figure de la mère et celle de l’écriture dans les récits autobiographiques de Michel Tremblay et de Gilles Archambault
La figure de la mère et celle de l’écriture dans les récits autobiographiques de Michel Tremblay et de Gilles Archambault
La figure de la mère et celle de l’écriture dans les récits autobiographiques de Michel Tremblay et de Gilles Archambault
La figure de la mère et celle de l’écriture dans les récits autobiographiques de Michel Tremblay et de Gilles Archambaults
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Référence bibliographique [2997]
Marcoux, Nathalie. 2006. «La figure de la mère et celle de l’écriture dans les récits autobiographiques de Michel Tremblay et de Gilles Archambault». Mémoire de maîtrise, Québec, Universite Laval, Faculté des lettres.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : « [Nous examinerons dans ce mémoire] deux thématiques interdépendantes, abondamment exploitées tant par [Gilles Archambault] que par [Michel Tremblay] : soit le rapport à la mère ainsi que la représentation de l’écriture. » (p. 5)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Cinq récits : - Un après-midi de septembre (1993) de Gilles Archambault; - Les Vues animées (1990), Douze coups de théâtre (1992), Un ange cornu avec des ailes de tôle (1994) et Bonbons assortis (2002) de Michel Tremblay.
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
« Faisant suite à des recherches qui ont tenté de circonscrire et de définir les contours des textes à mention générique récit(s) issus du paysage littéraire du Québec, ce mémoire se propose de mettre au jour la manière dont se concrétise la pratique du récit pour deux écrivains québécois contemporains, c’est-à-dire Gilles Archambault et Michel Tremblay. Affichant un pacte de lecture référentiel semblable à celui de l’autobiographie tout en se distinguant des pratiques courantes de la littérature personnelle (autoportrait, journal intime, mémoire, autobiographie) et de celles qui présentent une narration à la première personne du singulier (roman autobiographique, essai, autofiction), [les récits de Gilles Archambault et Michel Tremblay étudiés dans ce mémoire] accordent à la figure de la mère ainsi qu’à celle de l’écriture un rôle significatif au sein de leur univers respectif. Ces figures, quoiqu’elles s’articulent différemment pour chacun des auteurs, alimentent tout un réseau de signification qui, soit sous la forme d’un récit de confession ou d’un récit d’apprentissage, permet et participent à l’éclosion d’un je en quête d’un passé, d’un désir d’introspection et de compréhension, mais surtout, en quête d’identité. » (p. ii)