Les familles sans voiture vivant dans les quartiers centraux : choix de localisation et stratégies de déplacement

Les familles sans voiture vivant dans les quartiers centraux : choix de localisation et stratégies de déplacement

Les familles sans voiture vivant dans les quartiers centraux : choix de localisation et stratégies de déplacement

Les familles sans voiture vivant dans les quartiers centraux : choix de localisation et stratégies de déplacements

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Référence bibliographique [2922]

Poirier, Marie-Hélène. 2006. «Les familles sans voiture vivant dans les quartiers centraux : choix de localisation et stratégies de déplacement». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Faculté d’aménagement.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« L’objectif de la présente étude réside dans l’identification des choix de localisation et des stratégies de déplacement préconisées par les familles sans voiture vivant dans les quartiers centraux de Montréal. » (résumé)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« Entrevues réalisées auprès de quinze familles montréalaises. » (résumé)

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Les résultats [de notre étude] suggèrent deux modèles […]. De prime abord, les modèles présentent des postures distinctes devant ce qui a été défini comme étant la mobilité quotidienne; chacun étant constitué d’un ensemble de conditions qui se sont avérées influencées, de manière significative, l’aménagement des temps familiaux chez les ménages sans voiture. Par conséquent, les observations découlant des entrevues ont permis de déterminer deux types de familles : celles qui affirment une position identitaire forte quant à leur statut de sans-voiture et celles qui se considèrent en situation transitoire, soit dans l’attente d’acheter une maison à l’extérieur de la ville, d’avoir un deuxième enfant, d’améliorer leur situation financière, d’obtenir une approbation de crédit, etc. À partir de l’identification des stratégies appartenant aux familles, des enjeux ont été soulevés, devant ce qui apparaît supporter la charge d’une problématique commune. En outre, si le premier constat induit une réflexion qui porte sur l’influence de la situation socio-économique des répondants et de l’ensemble de leurs conditions de mobilité, dès lors, le deuxième soulève un enjeu relatif à l’accès à la propriété pour les jeunes familles, et sa contribution directe aux problématiques engendrées par l’étalement urbain. » (résumé)