L’accès des jeunes provenant de milieux défavorisés aux activités scientifiques extrascolaires : une question d’équité
L’accès des jeunes provenant de milieux défavorisés aux activités scientifiques extrascolaires : une question d’équité
L’accès des jeunes provenant de milieux défavorisés aux activités scientifiques extrascolaires : une question d’équité
L’accès des jeunes provenant de milieux défavorisés aux activités scientifiques extrascolaires : une question d’équités
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Référence bibliographique [2900]
Rahm, Jrène. 2006. «L’accès des jeunes provenant de milieux défavorisés aux activités scientifiques extrascolaires : une question d’équité ». Revue des sciences de l’éducation, vol. 32, no 3, p. 733-758.
Intentions : « Cet article étudie la question de l’iniquité d’accès aux activités parascolaires et aux programmes communautaires en sciences chez les jeunes provenant de milieux défavorisés. » (p. 733)
2. Méthode
Type de traitement des données : Essai critique
3. Résumé
« À travers une synthèse de quelques enquêtes récentes, nous soulignerons certaines différences au niveau du sexe et du statut socioéconomique qui semblent jouer sur l’utilisation que font ces jeunes de leurs temps libres et sur leur participation aux activités parascolaires, extrascolaires et aux loisirs. Par la suite, nous nous intéresserons à la vulgarisation des sciences telle que le proposent les musées, certaines activités parascolaires et programmes communautaires, et à leur accessibilité. La synthèse qui découlera de ces observations nous amènera à décrire trois programmes différents, axés sur les sciences et accessibles aux jeunes des milieux défavorisés. Un aperçu de ces programmes nous permettra de formuler un ensemble de suggestions destinées à orienter des interventions futures vers la promotion de la culture scientifique et vers l’accès à cette culture chez les jeunes qui en sont présentement exclus. Nous conclurons en répétant le message déjà bien connu selon lequel l’école ne peut plus, à elle seule, répondre aux diverses demandes et aux différents besoins des jeunes d’aujourd’hui (Andrews, 2001 ; Conseil supérieur de l’éducation, 1987 ; Heath, 2001 ; Lemerise, 1998). » (p. 736)