L’état des connaissances à l’égard des comportements à risque des adolescentes ayant vécu une agression sexuelle

L’état des connaissances à l’égard des comportements à risque des adolescentes ayant vécu une agression sexuelle

L’état des connaissances à l’égard des comportements à risque des adolescentes ayant vécu une agression sexuelle

L’état des connaissances à l’égard des comportements à risque des adolescentes ayant vécu une agression sexuelles

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Référence bibliographique [2802]

Wright, John, Cinq-Mars, Caroline, Cyr, Mireille et McDuff, Pierre. 2006. «L’état des connaissances à l’égard des comportements à risque des adolescentes ayant vécu une agression sexuelle ». Revue de Psychoéducation, vol. 35, no 2, p. 301-322.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« L’objectif de cet article est d’effectuer une recension des écrits sur les comportements à risque des adolescentes qui ont été agressées sexuellement afin de mieux comprendre ce phénomène. De plus, les implications cliniques de ces comportements seront abordés, de même qu’un aperçu des modèles théoriques dans lesquels ils s’inscrivent. » (p. 302)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« [U]ne recension de 47 études portant sur les comportements à risque d’adolescentes qui ont été agressées sexuellement a été effectuée. » (p. 301)

Types de traitement des données :
Recension

3. Résumé


« La consommation d’alcool et de drogues, les conduites sexuelles risquées, les actes délinquants et l’automutilation constituent les comportements à risque qui ont fait l’objet de la présente recension. Dans l’ensemble, il apparaît que les adolescentes qui ont été victimes d’AS [agression sexuelle] sont plus susceptibles de présenter des comportements à risques que les autres adolescentes. Toutefois, en ce qui concerne les actes délinquants et l’automutilation, les résultats devront être reproduits pour être considérés fiables étant donné le nombre plus restreint d’études et les différentes méthodologies utilisées. Par ailleurs, il semble que certaines caractéristiques familiales et de l’agression ont également une influence sur l’apparition des comportements à risque et peuvent constituer des facteurs de risque et de protection. Les dynamiques psychologiques qui sous-tendent les comportements à risque de même que certains modèles théoriques dans lesquels ces comportements pourraient s’inscrire sont discutés. Des implications cliniques et pistes de recherches futures sont également soulignées. » (p. 301)