Les conceptions de la famille, du temps et de l’intervenant en intervention sociale : analyse de pratiques d’intervention familiale
Les conceptions de la famille, du temps et de l’intervenant en intervention sociale : analyse de pratiques d’intervention familiale
Les conceptions de la famille, du temps et de l’intervenant en intervention sociale : analyse de pratiques d’intervention familiale
Les conceptions de la famille, du temps et de l’intervenant en intervention sociale : analyse de pratiques d’intervention familiales
|
Référence bibliographique [2750]
Boulanger, Dany. 2007. «Les conceptions de la famille, du temps et de l’intervenant en intervention sociale : analyse de pratiques d’intervention familiale». Essai de maîtrise, Sherbrooke, Université de Sherbrooke, Département de service social.
Fiche synthèse
1. Objectifs
Intentions : Dans cet essai de maîtrise, l’auteur « [s’interroge] sur les pratiques actuelles s’actualisant auprès des familles. » (p. 5) Dans un contexte où l’on parle au Québec d’un virage familial, l’auteur vise à « faire le point sur les visions des acteurs que constituent l’intervenant et la famille. » (p. 5)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : « [Trois] descriptifs de pratiques [...] d’intervention familiale institutionnelles se déployant lors de la période de la transition à la parentalité : celles véhiculées par Molénat et Toubin (1996), par Cowan et Cowan (1992) et par Martin, Boyer et al. (1995). » (p. i)
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
« En s’intéressant dans un premier temps au thème du découpage de la famille, on identifie un ensemble de conceptions de la famille prenant la forme de polarités. On veut saisir des pratiques — et les discours qu’elles soulèvent — permettant d’aborder la famille de manière globale. On soulève d’abord deux discours qui, en mettant l’accent sur le rôle de la mère à l’égard du risque familial, permettent une approche incomplète de l’unité familiale. On cible par la suite quatre pratiques qui rendent possible cette globalisation de la famille et qui permettent un dépassement de l’enjeu du risque. Par leur critique de la vision normative de la famille et de l’adoption, par l’intervenant, d’un rôle d’expert, on peut lier entre elles différentes conceptions de la famille qui sous-tendent un certain découpage de la famille. L’exploration des alternatives proposées permet d’enrichir l’élaboration théorique, en soulevant l’importance, pour l’intervenant, d’accompagner la famille en prenant appui sur des leviers qui permettent de renforcer les processus familiaux. Partir de la famille apparaît pertinent en ce qu’on conçoit, de manière alternative, qu’elle assure d’elle-même la sécurisation de l’enfant. » (pp. i-ii)