L’expérience de proches aidants au regard de leurs interactions sociales avec un parent atteint de démence et présentant un comportement d’errance en centre d’hébergement

L’expérience de proches aidants au regard de leurs interactions sociales avec un parent atteint de démence et présentant un comportement d’errance en centre d’hébergement

L’expérience de proches aidants au regard de leurs interactions sociales avec un parent atteint de démence et présentant un comportement d’errance en centre d’hébergement

L’expérience de proches aidants au regard de leurs interactions sociales avec un parent atteint de démence et présentant un comportement d’errance en centre d’hébergements

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Référence bibliographique [268]

Dion, Rosalie. 2011. «L’expérience de proches aidants au regard de leurs interactions sociales avec un parent atteint de démence et présentant un comportement d’errance en centre d’hébergement». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université de Montréal, Faculté des sciences infirmières.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le but de l’étude est d’explorer l’expérience de proches aidants au regard de leurs interactions sociales, lors de leurs visites au CHSLD, avec un membre de leur famille atteint de démence et présentant un comportement d’errance.» (p. 9)

Questions/Hypothèses :
La question de recherche formulée par l’auteure est la suivante: «[c]omment les proches aidants perçoivent-ils les interactions sociales avec leur parent souffrant de démence et présentant un comportement d’errance, lors de leurs visites au centre d’hébergement?» (p. 9)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Un total de cinq proches aidantes ont participé à l’étude, toutes filles d’un parent hébergé dans» un centre gériatrique de Montréal. (p. 44)

Instruments :
-Questionnaire
-Guide d’entretien semi-structuré

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Cette étude permet de constater que les aidantes d’un proche «sont en mesure d’expliquer l’errance en identifiant plusieurs causes à ce comportement, entre autres la recherche de repères connus, les habitudes de vie antérieures, le besoin de liberté et le désir de retourner chez soi. Être en mesure d’expliquer le comportement semble en favoriser l’acceptation. Cette compréhension et cette acceptation du besoin constant de se mouvoir permettent aux aidantes d’entretenir des interactions avec leur parent et de passer de « bons moments » lors des visites. Pour maintenir ces interactions encore importantes, les aidantes ont développé des stratégies de communication non verbales comme le toucher et la marche rapide. Elles ont également su se familiariser avec ce comportement en évitant de confronter leur parent et en faisant preuve de créativité. Ces résultats mettent en lumière des pistes d’interventions infirmières afin de favoriser des interactions harmonieuses entre les résidents errants et leur proche aidant.» (p. iii)