Portrait historique de la pratique de la généalogie et son rôle comme vecteur de transmission de la culture au Québec

Portrait historique de la pratique de la généalogie et son rôle comme vecteur de transmission de la culture au Québec

Portrait historique de la pratique de la généalogie et son rôle comme vecteur de transmission de la culture au Québec

Portrait historique de la pratique de la généalogie et son rôle comme vecteur de transmission de la culture au Québecs

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Référence bibliographique [2605]

Durbau, Dolorès. 2007. «Portrait historique de la pratique de la généalogie et son rôle comme vecteur de transmission de la culture au Québec». Mémoire de maîtrise, Trois-Rivières, Québec, Université du Québec à Trois-Rivières, Département de loisir, culture et tourisme.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette recherche nous a permis de définir le concept de généalogie, de tracer le portrait historique de la pratique de la généalogie au Québec et d’identifier le rôle de la généalogie comme vecteur de transmission de la culture tout en définissant le type de culture que transmet la généalogie (histoire du Québec, culture identitaire, etc.).» (p.i)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
7 experts du milieu de la généalogie (sociologues, généalogistes, archivistes)
41 sociétés de généalogies membres de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif
Sondage

Type de traitement des données :
Analyse de contenu
Analyse statistique

3. Résumé


«Les résultats nous amènent à constater que la généalogie est un vecteur de transmission de la culture et qu’il existe deux types de transmission, une verticale et une autre horizontale. La transmission verticale, qui est la transmission de la mémoire familiale, correspond chez le généalogiste à la quête d’identité. Ces recherches généalogiques l’amènent à faire l’apprentissage de l’histoire familiale, sociale, municipale, régionale et nationale. Quant à la transmission horizontale, elle se fait par les groupes d’appartenance et par l’Internet. Les groupes d’appartenance sont les groupes de généalogie dont le généalogiste est membre. Ce sont des lieux où l’information circule ou de nombreux échanges ont lieu entre les membres par le biais du bulletin mensuel, de la formation, des conférences ou par toutes les autres activités organisées par la société. [...] En conclusion, on peut dire que la généalogie prend de l’ampleur, car de plus en plus de généalogistes sont à la recherche de la mémoire familiale, ce qui les amène à une quête d’identité. Lorsque le généalogiste rédige une histoire de famille, c’est l’apprentissage de l’histoire sociale, régionale et nationale qui est transmise par la généalogie.» (p.1)