La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québec

La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québec

La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québec

La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québecs

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Référence bibliographique [2571]

Gahongayire, Odette. 2007. «La contribution des centres ressources à la réduction de la pauvreté des femmes monoparentales de la ville de Québec». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Département de sociologie.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Décrire la pauvreté des femmes monoparentales et responsables de famille bénéficiant de l’aide sociale.

Questions/Hypothèses :
« Alors que depuis des années, le but des programmes gouvernementaux, des centres et d’autres organismes d’aide est de combattre la pauvreté, pourquoi non seulement persiste- t- elle encore, mais aussi pourquoi s’accroît-elle? Il y a-t-il espoir que les femmes prises en charge par ces institutions sortent un jour de leur état de pauvreté? » (p. 7)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
« Les quarante femmes qui constituent notre échantillon ont été choisies, sans aucune autre considération, dans quatre centres ressources en raison de dix femmes par centre. » (p. 39)

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


« Notre étude s’inscrit dans la sociologie interactionniste de Georg Simmel qui stipule que la société se fonde à partir d’un ensemble d’interactions entre individus, et ses formes s’établissent suivant des polarités basées sur le principe dualiste. Ces interactions constituent une association qui requiert que les individus concernés forment une unité d’ordre social ou une société. Dans cette perspective, les femmes monoparentales, qui font l’objet de notre recherche, construisent une unité sociale qui se fait, se défait et se refait constamment. Notre étude démontre que les centres ressources constituent un moyen de défaire ce flux dans la mesure où ils contribuent à la réduction de la pauvreté des femmes par le concours de tout genre qu’ils leur apportent. Nonobstant, leur contribution est loin de sortir définitivement dans cette situation, car leurs moyens semblent limités, ce qui fait qu’il se refait sans cesse en dépit de ce soutien combien appréciable. Pour ce faire, l’intervention des actions gouvernementales et celles en rapport avec la solidarité des femmes s’avèrent plus que nécessaires. » (p. ii)