La participation sociale des personnes handicapées au Québec : les relations interpersonnelles et les responsabilités
La participation sociale des personnes handicapées au Québec : les relations interpersonnelles et les responsabilités
La participation sociale des personnes handicapées au Québec : les relations interpersonnelles et les responsabilités
La participation sociale des personnes handicapées au Québec : les relations interpersonnelles et les responsabilitéss
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Référence bibliographique [2537]
Guay, Christian. 2007. La participation sociale des personnes handicapées au Québec : les relations interpersonnelles et les responsabilités. Montréal: Office des personnes handicapées du Québec.
Intentions : «Le présent document portant sur les relations interpersonnelles et les responsabilités produit par l’Office des personnes handicapées du Québec (ci-après l’Office) constitue l’une des contributions à l’élaboration de la proposition de politique gouvernementale pour la participation sociale des personnes handicapées.» (p.1)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
Ce rapport présente d’abord le modèle conceptuel qui y est privilégié : le Processus de production du handicap (PPH), où est considérée l’interaction entre les facteurs personnels et environnementaux, qui permet la réalisation plus ou moins pleine des habitudes de vie. «La pleine réalisation des habitudes de vie signifie une situation de participation sociale alors que la réduction de la réalisation des habitudes de vie correspond à une situation de handicap.» (p.5) La qualité des relations interpersonnelles constitue le socle d’une participation sociale satisfaisante et, parmi elles, les relations familiales occupent la première place. Ce rapport s’intéresse donc à la situation des familles au sein desquelles un membre a une incapacité, au rôle d’aidant familial et aux difficultés que cela représente pour les relations familiales. Les relations amicales sont ensuite abordées, en soulignant d’emblée que les personnes ayant une incapacité ont en moyenne moins d’amis intimes que l’ensemble de la population. Le rapport aborde finalement la question de la responsabilité envers les personnes atteintes d’une incapacité.