Maintenir le cap sur l’égalité de fait : réflexion sur certains enjeux en matière de politique familiale

Maintenir le cap sur l’égalité de fait : réflexion sur certains enjeux en matière de politique familiale

Maintenir le cap sur l’égalité de fait : réflexion sur certains enjeux en matière de politique familiale

Maintenir le cap sur l’égalité de fait : réflexion sur certains enjeux en matière de politique familiales

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Référence bibliographique [2441]

Lepage, Francine. 2007. Maintenir le cap sur l’égalité de fait : réflexion sur certains enjeux en matière de politique familiale. Québec: Gouvernement du Québec, Conseil du statut de la femme.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Le présente document vise à expliquer la position du Conseil du statut de la femme face à la nouvelle politique du gouvernement du Québec intitulée Pour que l’égalité de droit devienne une égalité de fait. Ainsi, entre «[..] l’ajout de 20 000 nouvelles places dans les services de garde à la petite enfance et le versement d’une allocation destinée principalement aux mères qui demeurent au foyer auprès de leurs enfants d’âge préscolaire, le Conseil du statut de la femme (CSF) opte résolument pour la première avenue. » (p. 4)

2. Méthode


Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Le Conseil prend ainsi position pour la poursuite de l’atteinte de l’autonomie réelle des femmes, la réduction des écarts de revenu entre les sexes, un accroissement de la main-d’oeuvre et la diminution des coûts sociaux trop souvent associés à la fragilité économique des femmes et à leur plus grande dépendance financière. Le CSF prend position, enfin, en faveur de la contribution de toutes les forces vives de la société au financement des services publics et au développement économique et social du Québec. Il faut donc se montrer circonspect à l’endroit de toute allocation qui inciterait les femmes à s’éloigner du marché du travail pour assurer, elles-mêmes, la garde de leurs enfants d’âge préscolaire durant plusieurs années. Même présentée sous le couvert d’une plus grande liberté de choix, une telle mesure risquerait d’être, non seulement pénalisante à moyen et à long terme pour les femmes qui privilégieraient cette voie, mais également coûteuse pour toute la société. » (p. 4)