Le bien-être de l’enfant à l’école : faisons nos devoirs. Sommaire
Le bien-être de l’enfant à l’école : faisons nos devoirs. Sommaire
Le bien-être de l’enfant à l’école : faisons nos devoirs. Sommaire
Le bien-être de l’enfant à l’école : faisons nos devoirs. Sommaires
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Référence bibliographique [22316]
Québec. Conseil supérieur de l’éducation. 2020. Le bien-être de l’enfant à l’école : faisons nos devoirs. Sommaire. Québec: Gouvernement du Québec, Conseil supérieur de l’éducation.
Intentions : «Par cet avis, Le bien-être de l’enfant à l’école: faisons nos devoirs, le Conseil supérieur de l’éducation se penche sur les facteurs qui influencent le bien être et la santé mentale des enfants du préscolaire et du primaire. Il décrit, notamment, la situation et les besoins des enfants, pour ensuite s’attarder aux leviers dont les milieux scolaires disposent qui peuvent être mis à profit pour leur permettre de grandir, d’apprendre et de s’épanouir dans un milieu scolaire bienveillant et pour la vie durant.» (p. 3)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
Selon cet avis, les «organismes communautaires, les municipalités, les organismes de loisirs et autres, implantés dans leur communauté, peuvent jouer un rôle dans le bien-être des enfants et des familles. Ces acteurs entretiennent des liens particuliers avec les familles et sont au fait des besoins et des défis qui se présentent dans leur communauté. Ils peuvent avantageusement agir en complémentarité avec l’école. […] La famille et l’école constituent les deux principaux environnements qui influencent le développement de l’enfant. En s’appuyant sur le principe de coéducation, le Conseil est d’avis qu’il faut bâtir une relation de confiance mutuelle et créer un espace de dialogue avec la famille pour des échanges constructifs autour d’une compréhension commune des besoins de l’enfant, dans le respect des rôles et des compétences de chacun. […] Étant donné la multiplicité des individus concernés et la nécessité d’agir de manière cohérente, complémentaire et concertée auprès de l’enfant et de sa famille, il devient incontournable d’établir une étroite collaboration avec tous les acteurs, soit le réseau de l’éducation, le réseau de la santé et des services sociaux, le réseau des services de garde éducatifs à l’enfance, les acteurs de la communauté et, bien évidemment, la famille et l’enfant lui-même.» (p. 9)