Soldiering in the Canadian Forces: How and Why Gender Counts!

Soldiering in the Canadian Forces: How and Why Gender Counts!

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Référence bibliographique [218]

Gouliquer, Lynne. 2011. «Soldiering in the Canadian Forces: How and Why Gender Counts!». Thèse de doctorat, Montréal, Université McGill, Département de sociologie.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«La présente étude examine la vie quotidienne de soldates canadiennes afin d’approfondir les questions liées au genre au sein des Forces canadiennes.» (p. vii)

Questions/Hypothèses :
«For my research, I hypothesised that service women’s’ earnings would be negatively affected by being in a marital-type relationship and the presence of children; given that there is no consistent indication in the research that men benefit from parental status, no influence was hypothesised for male soldiers.» (p. 29)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
- Données statistiques produites par les Forces canadiennes.
- 39 femmes soldates ont été interviewées.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse statistique
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les femmes ont parcouru beaucoup de chemin depuis la Commission royale d’enquête sur le statut de la femme au Canada qui, en 1970, formulait 167 recommandations visant à corriger des inégalités et iniquités connues. De celles-ci, six portaient plus particulièrement sur l’intégration complète des femmes aux Forces canadiennes. En 1989, un tribunal canadien des droits de la personne ordonnait aux Forces canadiennes de procéder à l’intégration complète des femmes. L’élimination de ces barrières sexospécifiques représente une étape importante dans l’atteinte de l’égalité au sein de l’armée. Peu de nations peuvent se vanter en effet d’offrir aux femmes un accès libre à tous les métiers militaires. Il appert toutefois que les Forces ont peiné, voire échoué, à satisfaire aux exigences de ces politiques législatives (Davis, 1994; Chapstick, Farley, Wild et Parkes, 2005; O’Hara, 1998a, 1998b; Tanner, 1999). […] Les résultats quantitatifs montrent que les femmes militaires du rang réussissent relativement bien. Par contre, pour exercer leur métier de soldat, les femmes doivent renoncer à avoir une famille, un choix que les hommes n’ont pas à faire. Pour ce qui est des femmes sous-officières, les défis sont plus nombreux : elles gagnent moins que leurs collègues masculins et, contrairement à ceux-ci, éprouvent des difficultés à équilibrer activités militaires et vie de famille.» (p. vii-viii)