(Se) figurer l’image de soi de la belle-mère sans enfant dans un modèle familial recomposé
(Se) figurer l’image de soi de la belle-mère sans enfant dans un modèle familial recomposé
(Se) figurer l’image de soi de la belle-mère sans enfant dans un modèle familial recomposé
(Se) figurer l’image de soi de la belle-mère sans enfant dans un modèle familial recomposés
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Référence bibliographique [21671]
Larrue, Stéphanie et Bellehumeur, Christian R. 2020. «(Se) figurer l’image de soi de la belle-mère sans enfant dans un modèle familial recomposé ». Revue Québécoise de Psychologie, vol. 41, no 3, p. 19-51.
Intentions : «Cet article vise [...] à mieux comprendre la situation particulière des belles-mères et des belles-mères sans enfant (BMSE) dans des foyers où le couple est hétérosexuel, et ce, dans le but d’éclairer la pratique des thérapeutes travaillant avec des membres d’une famille recomposée ayant une BMSE […].» (p. 19)
Questions/Hypothèses : Deux questions de recherche sont posées dans l’article: «[c]omment la belle-mère sans enfant arrive-t-elle à se figurer ses images de soi avec la reconfiguration familiale d’une famille recomposée? […] Quelles sont les implications de cette reconfiguration?» (p. 19)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Données documentaires diverses
Type de traitement des données : Réflexion critique
3. Résumé
Selon les auteurs, «[a]vec le taux de divorce qui se situe autour de 49% au Québec […], le nombre de couples qui se font et se défont augmente, ce qui laisse présager que le nombre de belles-mères croît aussi […]. Bien que le beau-père puisse vivre des défis pour s’intégrer à sa famille recomposée […], la belle-mère vit plus de difficultés dans son rôle […] et est davantage stigmatisée […] (surtout par la mère d’origine et les beaux-enfants). Ce faisant, elle est donc confrontée au mythe de la belle-mère […] et doit ainsi trouver comment inscrire son rôle dans l’archétype de la mère […].» (p. 24) «Comme la mère d’origine, la belle-mère véhicule l’archétype de la mère, mais peut être considérée comme étant moins expérimentée en ce qui a trait à l’éducation des enfants, surtout si elle n’a pas eu d’enfant elle-même, par la mère d’origine et sa famille (notamment les enfants, qui sont les beaux-enfants de la belle-mère) […].» (p. 24)