La prévention de la violence au Québec : une responsabilité individuelle et collective

La prévention de la violence au Québec : une responsabilité individuelle et collective

La prévention de la violence au Québec : une responsabilité individuelle et collective

La prévention de la violence au Québec : une responsabilité individuelle et collectives

| Ajouter

Référence bibliographique [21629]

Arruda, Horacio, Laforest, Julie, Lepage, Hélène, Maurice, Pierre et Tchameni Ngamo, Salomon. 2018. La prévention de la violence au Québec : une responsabilité individuelle et collective. Rapport du directeur national de santé publique 2018. Québec: Gouvernement du Québec, Ministère de la Santé et des Services sociaux, Direction des communications.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Ce rapport «offre de nombreuses pistes de réflexion sur la violence et permet de mieux comprendre une réalité qui s’observe malheureusement encore trop souvent au Québec. En plus de dresser un portrait de la situation, il met en évidence les liens qui s’établissent entre les différentes expériences de violence vécues et la santé, et il contient de multiples stratégies de prévention.» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Ce rapport comporte trois chapitres. Le premier est consacré à décrire les différentes manifestations de violence au Québec […]. Le deuxième chapitre met en évidence les conséquences de la violence sur la santé ainsi que les liens entre les différentes manifestations de violence subies à une étape ou à une autre de la vie […]. [Enfin, le] troisième chapitre définit les orientations prioritaires à retenir pour le Québec en matière de prévention de la violence […].» (p. 2) Plusieurs sections de ce document concernent la violence vécue en contexte familial ou conjugal. Par exemple, il aborde la maltraitance chez les jeunes et les enfants: «Au Québec, la négligence est la forme la plus souvent confirmée par les services de protection de l’enfance, suivie de l’exposition à la violence conjugale, de l’abus physique et des mauvais traitements psychologiques.» (p. 10) La violence dans les relations amoureuses des jeunes est aussi abordée, et suivie d’une section sur la violence conjugale. Entre autres, cette section révèle «qu’environ le quart de la criminalité contre la personne était attribuable à la violence conjugale [en 2015].» (p. 16) Le concept de transmission intergénérationnelle est également défini, et il est noté que même «si la plupart des victimes de mauvais traitements dans l’enfance ne développent pas nécessairement de comportements violents envers leurs propres enfants, elles sont plus susceptibles, une fois devenues adultes, d’exercer ce type de violence […].» (p. 46)