Évaluation du risque d’homicide conjugal : répertoire des outils existants

Évaluation du risque d’homicide conjugal : répertoire des outils existants

Évaluation du risque d’homicide conjugal : répertoire des outils existants

Évaluation du risque d’homicide conjugal : répertoire des outils existantss

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Référence bibliographique [21580]

Lapointe, Frédérique, Robitaille, Caroline, Lévesque, Sylvie et Lessard, Geneviève. 2018. Évaluation du risque d’homicide conjugal : répertoire des outils existants. Québec: Centre de recherche interdisciplinaire sur la violence familiale et la violence faite aux femmes (CRI-VIFF), Équipe de recherche en violence conjugale: Acteurs en contexte et pratiques novatrices.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Ce document répertorie «les outils permettant d’évaluer le risque d’homicide conjugal. [Il vise] plus spécifiquement à identifier des outils pouvant s’adresser aux personnes qui se questionnent quant à la dangerosité de leur situation personnelle, sans que leur utilisation ne nécessite une formation préalable.» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Parmi les 35 outils recensés dans le présent document, la majorité sont «conçus pour documenter le risque d’homicide conjugal à partir de la perspective de l’un ou l’autre des conjoints impliqués dans une dynamique de violence. Certains s’adressent à l’individu qui subit de la violence […], alors que d’autres visent plutôt l’auteur de violence […]. D’autres s’adressent aux deux partenaires vivant une dynamique de violence conjugale [ou] encore à l’entourage des personnes pouvant être concernées par les homicides conjugaux […].» (p. 2) Toutefois, une «grande partie des outils actuels d’évaluation du risque d’homicide conjugal ne sont pas accessibles à la population. Ils s’adressent majoritairement à des personnes ayant reçu une formation pour les utiliser (intervenants sociaux ou juridiques, policiers). Parmi ceux qui n’en nécessitent pas, la plupart impliquent tout de même d’associer sa situation personnelle à une dynamique de violence conjugale, puisqu’ils sont essentiellement diffusés par des organismes intervenant sur cette problématique. [Somme toute, les auteures concluent que] plusieurs items tirés d’outils existants pourraient être repris et adaptés pour créer un outil d’autoévaluation accessible à la population générale.» (p. 9)