Couples in Distress: A Dyadic Analysis of Attachment Insecurities and Romantic Disengagement Among Couples Seeking Relationship Therapy

Couples in Distress: A Dyadic Analysis of Attachment Insecurities and Romantic Disengagement Among Couples Seeking Relationship Therapy

Couples in Distress: A Dyadic Analysis of Attachment Insecurities and Romantic Disengagement Among Couples Seeking Relationship Therapy

Couples in Distress: A Dyadic Analysis of Attachment Insecurities and Romantic Disengagement Among Couples Seeking Relationship Therapys

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Référence bibliographique [21544]

Callaci, Melissa. 2020. «Couples in Distress: A Dyadic Analysis of Attachment Insecurities and Romantic Disengagement Among Couples Seeking Relationship Therapy». Thèse de doctorat, Montréal, Université de Montréal, Département de psychologie.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Cette thèse par articles comporte deux articles. «Le but principal de cette thèse est […] de mieux comprendre le désengagement conjugal dans un contexte clinique afin de proposer des pistes d’intervention aux thérapeutes conjugaux.» (p. iii) La première étude cherchait à mieux comprendre «l’association entre l’insécurité d’attachement de chaque partenaire et le niveau de désengagement dans une perspective dyadique.» (p. iv) Le «deuxième article visait à examiner si la thérapie de couple offerte en milieu naturel parvient à réduire le désengagement auprès des couples qui consultent en thérapie conjugale. L’étude a également examiné dans quelle mesure les insécurités d’attachement sont associées à l’amélioration du désengagement au fil de la thérapie conjugale.» (p. v)

Questions/Hypothèses :
For the first study, «[i]t was hypothesized that individuals with greater attachment-related avoidance would report greater romantic disengagement.» (p. 22) It was also «hypothesized that individuals with partners higher on attachment avoidance or anxiety would report greater romantic disengagement.» (p. 23) For the second study, it was «hypothesized that couple therapy would reduce both partners’ levels of disengagement following 15 weeks in therapy. [The author] also expected that greater attachment-related avoidance would be related to higher disengagement after 15 weeks in therapy.» (p. 23-24)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
The first study «was part of a larger investigation examining factors associated with successful couple therapy. The sample consisted of 171 mixed-sex (male/female) couples seeking relationship therapy in a private practice located near Montreal, Quebec between 2015 and 2017.» (p. 39) The second study «was embedded in a larger ongoing longitudinal study assessing the effectiveness of couple therapy in routine practice» (p. 78) The sample was 163 couples who were followed in couple therapy by one of the nine licensed psychologists and two clinical psychology pre-doctoral interns [who] provided couple therapy in the community-based fee-for-service practice where this research was conducted.» (p. 78)

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


Les résultats de la première étude «suggèrent que le désengagement pourrait se présenter différemment chez les hommes et les femmes. Alors que le désengagement des hommes serait principalement lié à leurs propres insécurités d’attachement (évitement), le désengagement des femmes serait lié à la fois à leurs propres insécurités d’attachement ainsi qu’à celles de leur partenaire. Plus précisément, un plus haut niveau de désengagement chez la femme serait lié à son propre évitement ainsi qu’à l’anxiété d’abandon de son partenaire. De plus, l’association entre l’anxiété d’abandon chez la femme et son propre désengagement serait modérée par l’évitement de son partenaire.» (p. iv) « Les résultats [de la deuxième étude] révèlent que le désengagement diminue lorsque les couples suivent une thérapie conjugale, et ce même après seulement quatre à 10 séances d’intervention. […] L’évitement de l’intimité de l’homme et l’anxiété d’abandon de la femme étaient associés à un plus haut niveau de désengagement chez l’homme lors du suivi de 15 semaines, et ce même après avoir contrôlé pour la dépression et la satisfaction conjugale.» (p. v)