40 ans d’expertise pour bâtir l’avenir : bilan des directeurs de la Protection de la jeunesse / directeurs provinciaux 2019

40 ans d’expertise pour bâtir l’avenir : bilan des directeurs de la Protection de la jeunesse / directeurs provinciaux 2019

40 ans d’expertise pour bâtir l’avenir : bilan des directeurs de la Protection de la jeunesse / directeurs provinciaux 2019

40 ans d’expertise pour bâtir l’avenir : bilan des directeurs de la Protection de la jeunesse / directeurs provinciaux 2019s

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Référence bibliographique [21330]

Directeurs de la protection de la jeunesse du Québec. 2019. 40 ans d’expertise pour bâtir l’avenir : bilan des directeurs de la Protection de la jeunesse / directeurs provinciaux 2019. Québec: Gouvernement du Québec, Directeurs de la Protection de la jeunesse.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans ce bilan annuel, les directrices et directeurs de la protection de la jeunesse du Québec ont choisi «de souligner les quarante ans de la Loi en portant [leur] regard vers l’avenir. [Leur] ambition: que la mission de protéger les enfants soit hissée au premier rang des préoccupations de notre société, afin de prévenir plus efficacement la maltraitance et les séquelles qu’elle laisse trop souvent chez nos petits.» (p. 3) Pour ce faire, les auteurs analysent l’évolution des lois concernant la protection de la jeunesse et l’adoption et la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) et offrent un portrait statistique de certains indicateurs.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Le présent rapport annuel offre un portrait statistique en fonction de différents indicateurs, comme le nombre de signalements, la provenance des signalements, les motifs retenus, les milieux de vie des enfants. Il brosse un portrait statistique du rôle de la DPJ en matière d’adoption, comme les recherches d’antécédents, les retrouvailles, les adoptions au Québec et à l’international. Le rapport offre aussi un portrait des différentes interventions auprès de la population adolescente québécoise. En ce qui concerne la Loi sur la protection de la jeunesse, celle-ci «s’est adaptée aux nouvelles réalités sociales et judiciaires. […]. L’expérience des enfants, des parents, des milieux d’accueil et scolaires ainsi que des communautés autochtones est au cœur des préoccupations qui ont donné lieu [aux dernières] modifications [adoptées en 2017]. Celles-ci ont trait tant à l’intervention sociale que judiciaire et sont l’aboutissement d’un ensemble de représentations faites par les acteurs du milieu.» (p. 11) En ce qui a trait à l’adoption, en 2018, «la Loi modifiant le Code civil et d’autres dispositions législatives en matière d’adoption et de communication de renseignements entrait en vigueur. […] Au nombre des modifications apportées, mentionnons celles qui ont trait aux règles de confidentialité quant à la transmission des informations que renferme le dossier d’adoption: dorénavant, les adoptés peuvent, à certaines conditions, avoir accès aux renseignements sur l’identité de leurs parents et de leur fratrie d’origine, et sur leur identité primaire […].» (p. 22) Pour ce qui est de la LSJPA, celle-ci aurait «comme principe d’entraver au minimum la liberté des jeunes, ce qui explique qu’une grande majorité des peines sont purgées dans la collectivité. Les directeurs provinciaux estiment que la meilleure façon d’assurer la protection durable du public consiste à appliquer la bonne mesure au bon moment, c’est-à-dire celle qui est la plus susceptible de permettre la réadaptation et la réinsertion du jeune contrevenant.» (p. 32)