Cadre de référence : plan de services individualisé jeunesse en Montérégie

Cadre de référence : plan de services individualisé jeunesse en Montérégie

Cadre de référence : plan de services individualisé jeunesse en Montérégie

Cadre de référence : plan de services individualisé jeunesse en Montérégies

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Référence bibliographique [2121]

Boislard, Louise, Levert, Lucie et Michelin, Daniel. 2008. Cadre de référence : plan de services individualisé jeunesse en Montérégie. 2. Longueuil: Gouvernement du Québec, Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
« Ce cadre de référence exprime la volonté commune du réseau de la santé et des services sociaux ainsi que des partenaires intersectoriels de mettre à la disposition de l’enfant, du jeune et de sa famille un outil clinique et un mécanisme de planification, de coordination et d’intégration permettant de répondre plus adéquatement et efficacement à leurs besoins de santé et de bien-être. » (p. 11)

2. Méthode


Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


« Cette actuelle révision met une emphase plus importante [par rapport à la version de 2005] sur la place de l’enfant, du jeune et de sa famille, ajuste et clarifie le processus clinique et opérationnel, outille les intervenants pour favoriser l’implication active du jeune et de sa famille, énonce les conditions de succès essentielles à l’implantation dont le leadership, supporte la mise en place des réseaux locaux, des CSSS [Centre de santé et de services sociaux] et des continuums d’intervention dans toutes les problématiques touchant les enfants et les jeunes. […] Le chapitre 1 définit le PSI [Plan de services individualisé], affirme que l’enfant, le jeune et sa famille sont au cœur de celui-ci et énonce les valeurs qui le sous-tendent. Le chapitre 2 établit le partenariat comme élément essentiel du PSI et précise les conditions de succès nécessaires à l’implantation du PSI tandis que les chapitres 3 et 4 présentent respectivement le processus clinique et le processus opérationnel. » (p. 11)