Panorama des régions du Québec. Édition 2019

Panorama des régions du Québec. Édition 2019

Panorama des régions du Québec. Édition 2019

Panorama des régions du Québec. Édition 2019s

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Référence bibliographique [21143]

Beaulieu, Mario, Binette Charbonneau, Anne, Brehain, Sophie, Crespo, Stéphane, Demers, Marc-André, Deschênes, Nathalie, Fortier, Claude, Ladouceur, Claude, Madore, Louis, Marchand, Guillaume, Prévost-Dallaire, Sylvain et Provençal, Marie-Hélène. 2019. Panorama des régions du Québec. Édition 2019. Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le Panorama des régions du Québec. Édition 2019 dresse un portrait socioéconomique multidimensionnel des 17 régions administratives du Québec.» (p. 3)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les données sont issues de différentes études statistiques réalisées par l’Institut de la statistique du Québec et par Statistique Canada.

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


En tout, «11 thématiques abordées sont analysées selon les plus récentes statistiques dans les domaines suivants: démographie, conditions de vie, éducation, marché du travail, comptes économiques, investissements, valeur foncière, mines, tourisme, culture et communications ainsi que transport.» (p. 3) Concernant la famille, on constate que «[l]a comparaison des taux régionaux de 2016 par type de famille […] révèle que les familles monoparentales sont à faible revenu dans une proportion beaucoup plus élevée que les couples avec ou sans enfants, quelle que soit la région. Les taux des couples sans enfants et ceux des couples avec enfants sont relativement comparables. Entre 2015 et 2016, une diminution du taux de faible revenu chez les couples sans enfants survient dans huit régions, s’élevant tout au plus à 0,3 point (en Abitibi-Témiscamingue et au Saguenay–Lac-Saint-Jean).» (p. 18) Les auteurs constatent aussi que «[l]e revenu des familles comptant un couple est plus élevé que celui des familles monoparentales. Bien sûr, les premières sont plus susceptibles que les secondes de bénéficier de la présence d’un pourvoyeur de revenu additionnel, en l’occurrence le conjoint ou la conjointe. L’indicateur utilisé dans cette section est le revenu médian après impôt. En 2016, il confirme toujours cette réalité[.]» (p. 20)