L’obtention d’un diplôme en cinq ans ou moins chez les jeunes nés au Québec à la fin des années 1990
L’obtention d’un diplôme en cinq ans ou moins chez les jeunes nés au Québec à la fin des années 1990
L’obtention d’un diplôme en cinq ans ou moins chez les jeunes nés au Québec à la fin des années 1990
L’obtention d’un diplôme en cinq ans ou moins chez les jeunes nés au Québec à la fin des années 1990s
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Référence bibliographique [21054]
Nanhou, Virginie et Desrosiers, Hélène. 2020. L’obtention d’un diplôme en cinq ans ou moins chez les jeunes nés au Québec à la fin des années 1990. Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.
Intentions : Ce document «vise à offrir un premier portrait des caractéristiques liées à l’obtention ou non d’un diplôme en cinq ans ou moins chez les jeunes Québécois visés par l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ELDEQ)[.]» (p. 11)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «Les résultats présentés dans ce compendium s’appuient sur les données recueillies auprès des parents, des enseignants ou des jeunes lors des différents volets de l’ELDEQ ainsi que sur les données provenant des épreuves ministérielles de la 6e année du primaire et des fichiers administratifs du MEES [Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur].» (p. 11)
Instruments : Questionnaires
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
Les auteures présentent les résultats sous trois aspects distincts, soit: «les caractéristiques individuelles, familiales ou relatives à l’environnement social et scolaire des jeunes de 17 ans[;] le rendement et le risque de décrochage scolaire évalués lorsque les jeunes étaient au primaire et au secondaire [ainsi que] l’état de développement dans cinq domaines évalué par les enseignants alors que les jeunes étaient à la maternelle.» (p. 11) Au sujet de l’environnement familial, les auteures mentionnent notamment «que l’obtention d’un diplôme en cinq ans ou moins est liée aux pratiques parentales telles que rapportées par le parent répondant, à l’exception des pratiques parentales positives. [Par ailleurs, le] taux de diplomation est plus élevé chez les jeunes ayant déclaré être assez ou très proches de leur mère que chez ceux ayant indiqué ne pas être très proches de leur mère ou ne pas avoir de contacts avec elle. […] De façon générale, les jeunes ayant obtenu leur diplôme en cinq ans ou moins ont en moyenne une relation plus positive avec leurs parents[.]» (p. 24)