Les facteurs influençant la pratique de l’activité physique au cours de la grossesse
Les facteurs influençant la pratique de l’activité physique au cours de la grossesse
Les facteurs influençant la pratique de l’activité physique au cours de la grossesse
Les facteurs influençant la pratique de l’activité physique au cours de la grossesses
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Référence bibliographique [21013]
St-Laurent, Audrey. 2019. «Les facteurs influençant la pratique de l’activité physique au cours de la grossesse». Mémoire de maîtrise, Trois-Rivières (Québec), Université du Québec à Trois-Rivières, Département des sciences de l’activité physique.
Intentions : Le but de cette étude est «de comparer les niveaux d’AP [activité physique] auprès des femmes enceintes par CN [conception naturelle] et par TF [traitement de fertilité] au cours de la grossesse et déterminer les facteurs qui prédisent l’activité physique d’intensité modérée à élevée (APME) pratiquée durant la grossesse.» (p. iii)
Questions/Hypothèses : La première hypothèse suppose que les «femmes enceintes sont moins actives à TRI [premier trimestre] et TR3 [troisième trimestre] comparativement à TR2 [deuxième trimestre] et [que] cette tendance est plus marquée chez les femmes enceintes à la suite de TF que chez les femmes enceintes par [conception naturelle. La deuxième hypothèse suggère que plusieurs] facteurs, dont ceux reliés à l’historique reproductif, influencent la pratique de l’APME des femmes enceintes et ces facteurs diffèrent selon le trimestre de la grossesse.» (p. 41)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’échantillon est composé de 96 femmes enceintes, dont 58 le sont par conception naturelle, et 38 par traitement de fertilité. Les participantes proviennent de la ville de Trois-Rivières.
Instruments : - Questionnaire - Journal de bord
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
Les «résultats de cette étude de cohorte prospective ont démontré que les niveaux d’AP des femmes enceintes naturellement sont similaires à ceux des femmes enceintes par TF. Aussi, [les] résultats suggèrent que la pratique antérieure d’AP influence la pratique prénatale subséquente. Ainsi, pour être efficaces dans la promotion de l’AP prénatale, les fournisseurs de soins obstétricaux et les professionnels de l’AP devraient renforcer l’importance d’être active aussi tôt que possible durant la grossesse. De plus, considérant la variabilité des prédicteurs de la pratique régulière de l’AP des femmes tout au long de leur grossesse, il est particulièrement important que les interventions en AP auprès de ces dernières soient adaptées selon le trimestre de la grossesse.» (p. 88)