1. Objectifs

Intentions :
Ce rapport de recherche vise à évaluer «comment les environnements dans lesquels grandissent les tout-petits de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine ont évolué depuis la parution du portrait sur le même thème en 2016, et plus largement au cours des dix dernières années.» (p. 6)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
«Les données présentées dans ce portrait proviennent de banques de données administratives, de recensements ou encore d’enquêtes populationnelles. […] Le portrait annuel des tout-petits du Québec 2019 regroupe donc les données les plus rigoureuses dont nous disposons sur les conditions de vie des tout-petits de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et de leur famille.» (p. 6)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé

À la lumière de leurs recherches, les auteures brossent le portrait des 0-5 ans de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine en abordant leur poids démographique, leur environnement familial, leur environnement physique et le type de services de garde qu’ils fréquentent, puis comparent les différents constats régionaux à ceux de l’ensemble de la province. Les données montrent entre autres qu’en Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine «[l]e taux de fécondité des femmes de moins de 20 ans a évolué à la hausse et à la baisse de 1998 à 2018 […]; toutefois, une tendance générale à la baisse est observée. [Par ailleurs, depuis] 2004, la proportion d’enfants de 0 à 5 ans de la région vivant dans une famille à faible revenu suit une tendance à la baisse. [On mentionne également que le] taux d’emploi des pères et des mères d’enfants de 0 à 5 ans a augmenté depuis 2001.» (p. 9) Ce rapport révèle également que «[l]a Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine se démarque du reste du Québec par une proportion plus élevée d’enfants de maternelle ayant des parents n’ayant jamais déménagé dans les cinq dernières années. [Finalement, les données montrent aussi que la] proportion d’enfants de la maternelle qui avaient moins d’un an lorsqu’ils ont commencé à se faire garder sur une base régulière est plus élevée [qu’ailleurs dans la province].» (p. 7)