Analyse économique du soutien aux familles comptant un enfant handicapé
Analyse économique du soutien aux familles comptant un enfant handicapé
Analyse économique du soutien aux familles comptant un enfant handicapé
Analyse économique du soutien aux familles comptant un enfant handicapés
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Référence bibliographique [20878]
Plante, Nicolas, Brosseau, Jean-Philippe et Hamel, Rudy. 2018. Analyse économique du soutien aux familles comptant un enfant handicapé. Montréal: Raymond Chabot Grant Thornton.
Intentions : «[L]’objectif de l’étude est de dresser un portrait exhaustif des différentes alternatives qui s’offrent aux parents d’un enfant handicapé pour la garde de celui-ci.» (p. 9)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Les auteurs utilisent diverses sources concernant l’aide financière accordée pour la garde d’un enfant handicapé telles que les statistiques de 2016 du Soutien aux enfants et de Retraite Québec ainsi que des sites internet des Centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS).
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
À la lumière de leur recherche, les auteurs présentent des alternatives disponibles aux parents d’un enfant handicapé pour la garde de celui-ci, soit la famille naturelle, la famille d’accueil ainsi que le milieu hospitalier. Par la suite, ils présentent les «niveaux de compensation financière accordés à une famille naturelle, à une famille d’accueil et au milieu hospitalier […], selon la gravité du handicap. [Finalement, ils comparent les] niveaux de compensation financière accordés» (p. 9) pour chacune de ces alternatives. Les résultats leur permettent entre autres de constater qu’un «écart persiste entre le financement total des familles naturelles et des familles d’accueil.» (p. 31) Les analyses montrent également que «[l]e milieu hospitalier est l’alternative associée au coût par enfant la plus élevée pour le gouvernement du Québec.» (p. 31) Finalement, «[l]es familles comptant deux enfants handicapés ne reçoivent pas le double des compensations offertes pour un premier enfant. Certaines compensations sont par famille, alors que d’autres compensations pour un deuxième enfant correspondent à une fraction de l’allocation pour un premier enfant.» (p. 32)