Les options résidentielles pour les aînés présentant une déficience intellectuelle
Les options résidentielles pour les aînés présentant une déficience intellectuelle
Les options résidentielles pour les aînés présentant une déficience intellectuelle
Les options résidentielles pour les aînés présentant une déficience intellectuelles
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Référence bibliographique [20874]
Leblanc, Fanny. 2019. «Les options résidentielles pour les aînés présentant une déficience intellectuelle». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de travail social et criminologie.
Intentions : «Ce mémoire concerne les options résidentielles s’offrant aux personnes aînées présentant une déficience intellectuelle (PADI) de la Ville de Québec. […] Les objectifs de cette recherche sont [d’abord de] connaître les options résidentielles actuellement disponibles pour les PADI; [de] comprendre leurs besoins comblés et non comblés en matière d’options résidentielles actuelles; [et d’identifier] des recommandations pour optimiser la satisfaction des PADI à l’égard de leur milieu de vie et soutenir l’exercice de leur pleine participation sociale.» (p. ii)
Questions/Hypothèses : La question de recherche centrale est la suivante: «Comment les personnes aînées présentant une déficience intellectuelle et vivant dans la Ville de Québec perçoivent-elles les options résidentielles s’offrant à elles?» (p. 71)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : L’échantillon est composé de «dix personnes présentant une DI [déficience intellectuelle] et âgées de plus de 50 ans.» (p. ii) Les participants (3 femmes et 7 hommes) ont été recrutés dans la ville de Québec.
Instruments : Guide d’entretien semi-directif
Type de traitement des données : Analyse de contenu
3. Résumé
Les résultats révélés par la «recension des écrits et la recherche documentaire ont permis de connaître les options résidentielles actuellement disponibles pour les PADI, autant celles disponibles à Québec que celles situées ailleurs en Occident […].» (p. 71) Concernant la famille, l’enquête illustre que les «PADI n’habitant pas dans des ressources publiques se retrouvent […] réparties dans d’autres options résidentielles de la communauté. [Ainsi, il] appert qu’une proportion de PADI résident avec des membres de leur famille, que ce soit avec leurs parents ou des membres de la fratrie et parfois même avec des membres de la famille élargie. Elles résident donc avec eux dans leur maison ou leur logement.» (p. 32) À la suite de son analyse, l’auteure constate entre autres que «plusieurs parents n’ont pas de plan clairement établi concernant le futur de la personne présentant une DI à la suite de leur décès […]. C’est souvent lorsque les parents commencent eux-mêmes à avoir des limitations causées par leur vieillissement qu’ils entament une réflexion à ce sujet. [Ainsi, les] personnes présentant une DI d’âge avancé qui n’ont jamais quitté la maison familiale, n’ont souvent pas eu la possibilité de développer les habiletés nécessaires à l’adoption d’un mode de vie plus indépendant.» (p. 57)