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Référence bibliographique [20856]
Traoré, Issouf, Julien, Dominic, Camirand, Hélène, Street, Maria-Constanza et Flores, Jasline. 2018. Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire 2016-2017 : Résultats de la deuxième édition. Tome 2 - L’adaptation sociale et la santé mentale des jeunes. Montréal: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.
Fiche synthèse
h2>1. Objectifs
Intentions :
Cette fiche présente le deuxième tome de l’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS) et «porte sur l’adaptation sociale et la santé mentale des jeunes du secondaire et présente l’évolution d’un certain nombre d’indicateurs depuis 2010-2011.» (p. 28) Des données concernant le soutien social et familial sont notamment présentées.
Échantillon/Matériau :
«L’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire, 2016-2017 (EQSJS) porte sur une population de quelque 388 000 élèves du secondaire inscrits au secteur des jeunes dans les écoles québécoises à l’automne 2016, excluant principalement les écoles des Terres-Cries-de-la-Baie-James et du Nunavik ainsi que les écoles comptant 30% ou plus d’élèves handicapés ou présentant un trouble grave du comportement.» (p. 29)
Instruments :
Questionnaires
Type de traitement des données :
Analyse statistique
Au sujet de l’adaptation sociale, «[l]es résultats montrent des associations entre le soutien social et certaines caractéristiques sociodémographiques et économiques. Ainsi, les jeunes qui vivent dans une famille biparentale ou en garde partagée et ceux dont au moins un parent a fait des études collégiales ou universitaires affichent davantage un niveau élevé de soutien social et de participation significative, quel que soit le type d’environnement.» (p. 185) Au sujet de la santé mentale, «[l]a proportion des élèves du secondaire se situant au niveau élevé de détresse psychologique a augmenté depuis 2010-2011, passant de 21% à 29%, et elle est plus élevée chez les filles que chez les garçons (40% c. 19%). […] À la lumière des résultats obtenus, certaines pistes d’analyse mériteraient d’être explorées. Ainsi, on observe qu’un niveau élevé de soutien social (qu’il provienne de la famille, des amis, de l’école ou de la communauté) ou de supervision parentale est presque invariablement lié à une meilleure santé mentale.» (p. 187) «Les résultats montrent aussi que la proportion d’élèves à risque de décrochage est moins élevée chez ceux qui vivent dans une famille biparentale ou dont au moins un parent a fait des études postsecondaires. Elle est également plus faible chez les jeunes bénéficiant d’un niveau élevé de soutien social, qu’il provienne de la famille, des amis, de l’école ou de la communauté.» (p. 188)
Intentions :
Cette fiche présente le deuxième tome de l’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire (EQSJS) et «porte sur l’adaptation sociale et la santé mentale des jeunes du secondaire et présente l’évolution d’un certain nombre d’indicateurs depuis 2010-2011.» (p. 28) Des données concernant le soutien social et familial sont notamment présentées.
2. Méthode
Échantillon/Matériau :
«L’Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire, 2016-2017 (EQSJS) porte sur une population de quelque 388 000 élèves du secondaire inscrits au secteur des jeunes dans les écoles québécoises à l’automne 2016, excluant principalement les écoles des Terres-Cries-de-la-Baie-James et du Nunavik ainsi que les écoles comptant 30% ou plus d’élèves handicapés ou présentant un trouble grave du comportement.» (p. 29)
Instruments :
Questionnaires
Type de traitement des données :
Analyse statistique
3. Résumé
Au sujet de l’adaptation sociale, «[l]es résultats montrent des associations entre le soutien social et certaines caractéristiques sociodémographiques et économiques. Ainsi, les jeunes qui vivent dans une famille biparentale ou en garde partagée et ceux dont au moins un parent a fait des études collégiales ou universitaires affichent davantage un niveau élevé de soutien social et de participation significative, quel que soit le type d’environnement.» (p. 185) Au sujet de la santé mentale, «[l]a proportion des élèves du secondaire se situant au niveau élevé de détresse psychologique a augmenté depuis 2010-2011, passant de 21% à 29%, et elle est plus élevée chez les filles que chez les garçons (40% c. 19%). […] À la lumière des résultats obtenus, certaines pistes d’analyse mériteraient d’être explorées. Ainsi, on observe qu’un niveau élevé de soutien social (qu’il provienne de la famille, des amis, de l’école ou de la communauté) ou de supervision parentale est presque invariablement lié à une meilleure santé mentale.» (p. 187) «Les résultats montrent aussi que la proportion d’élèves à risque de décrochage est moins élevée chez ceux qui vivent dans une famille biparentale ou dont au moins un parent a fait des études postsecondaires. Elle est également plus faible chez les jeunes bénéficiant d’un niveau élevé de soutien social, qu’il provienne de la famille, des amis, de l’école ou de la communauté.» (p. 188)