L’anxiété en milieu scolaire telle que perçue par des enseignants du primaire

L’anxiété en milieu scolaire telle que perçue par des enseignants du primaire

L’anxiété en milieu scolaire telle que perçue par des enseignants du primaire

L’anxiété en milieu scolaire telle que perçue par des enseignants du primaires

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Référence bibliographique [20799]

Lambert-Samson, Véronique et Beaumont, Claire. 2017. «L’anxiété en milieu scolaire telle que perçue par des enseignants du primaire ». Enfance en difficulté, vol. 5, p. 101-129.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«[C]ette étude exploratoire vise à vérifier les connaissances et les pratiques des enseignants du primaire concernant l’anxiété de leurs élèves.» (p. 102)

Questions/Hypothèses :
Les auteurs formulent la question de recherche suivante: «[L]e personnel enseignant possède-t-il les compétences nécessaires pour prévenir, identifier et gérer adéquatement l’anxiété chez les élèves?» (p. 101)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de «[d]ouze enseignants [deux hommes et dix femmes] provenant de six écoles primaires» (p. 108) de la région de Québec.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«[L]es résultats [de cette étude] indiquent que ces enseignants possèdent des connaissances sur l’anxiété, bien que partielles et inégalement réparties parmi les participants.» (p. 114) «Parmi les facteurs de risque pouvant expliquer l’anxiété chez les enfants, les facteurs familiaux sont largement identifiés par les participants. [L]orsque des difficultés, principalement comportementales, surgissent à l’école, la communication école-famille peut être teintée de reproches réciproques, nuisant au regard réflexif que parents ou enseignants doivent avoir sur leurs pratiques destinées à aider l’enfant. Sensibiliser le personnel enseignant aux contextes familiaux parfois pénibles dans lesquels les élèves évoluent pourrait [ainsi] favoriser une meilleure compréhension de leurs problèmes de comportement. Une meilleure capacité à considérer les difficultés familiales auxquelles plusieurs de leurs élèves doivent faire face entrainerait peut-être une meilleure compréhension et une meilleure communication école-famille […].» (p. 115)