L’apprentissage et le développement de soi à travers des espaces éducatifs divers : un regard sur l’enjeu des programmes parascolaires et communautaires en contexte pluriethnique

L’apprentissage et le développement de soi à travers des espaces éducatifs divers : un regard sur l’enjeu des programmes parascolaires et communautaires en contexte pluriethnique

L’apprentissage et le développement de soi à travers des espaces éducatifs divers : un regard sur l’enjeu des programmes parascolaires et communautaires en contexte pluriethnique

L’apprentissage et le développement de soi à travers des espaces éducatifs divers : un regard sur l’enjeu des programmes parascolaires et communautaires en contexte pluriethniques

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Référence bibliographique [20718]

Rahm, Jrène et Lachaîne, Audrey. 2016. «L’apprentissage et le développement de soi à travers des espaces éducatifs divers : un regard sur l’enjeu des programmes parascolaires et communautaires en contexte pluriethnique». Dans La diversité ethnoculturelle, religieuse et linguistique en éducation : théorie et pratique , sous la dir. de Maryse Potvin, Magnan, Marie-Odile et Larochelle-Audet, Julie, p. 241-252. Québec: Fides Éducation.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Dans ce chapitre, nous voulons explorer et mettre à profit la documentation récente quant au rôle complémentaire des programmes d’activités parascolaires et communautaires dans la formation scolaire des enfants, des jeunes et des familles issue de l’immigration.» (p. 241)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Ce chapitre montre comment les «activités parascolaires et communautaires peuvent pallier le manque de certaines ressources des écoles et des familles […].» (p. 249) Ainsi, elles «représentent des ressources importantes pour l’intégration et la socialisation des enfants, des jeunes et des familles issus de l’immigration.» (p. 241) Les auteures soutiennent que ces «espaces intermédiaires […] permettent d’acquérir une meilleure connaissance de la société d’accueil et de son système d’éducation, de même qu’un réseau social et un capital culturel […].» (p. 241) Elles qualifient ainsi ces espaces de «complément lorsque les familles immigrantes sont aux prises avec des difficultés d’adaptation sociales ou économiques […].» (p. 242) Toutefois, les auteures soutiennent que «les enfants et les jeunes qui grandissent au sein de familles immigrantes ont moins tendance à participer à des activités parascolaires et tendent à passer la majeure partie de leur temps hors de l’école avec leurs familles.» (p. 244) En ce sens, ces activités peuvent représenter «un moyen pour les jeunes de vivre des succès en offrant un accès à diverses possibilités d’apprentissage, à l’exploration de nouveaux intérêts et à l’endossement de rôles distincts de ceux qu’ils ont à la maison et à l’école.» (p. 244)