Étude de la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition de l’école à la vie active
Étude de la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition de l’école à la vie active
Étude de la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition de l’école à la vie active
Étude de la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition de l’école à la vie actives
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Référence bibliographique [20702]
Martin-Roy, Sarah. 2019. «Étude de la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition de l’école à la vie active». Thèse de doctorat, Québec, Université Laval, Faculté des sciences de l’éducation.
Intentions : «Cette thèse de doctorat porte sur la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition [à la vie active].» (p. iii) Le premier objectif est de décrire «la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition de l’école à la vie active selon leur point de vue et celui de leur entourage (parents, intervenants scolaires). [Le deuxième est de décrire] les stratégies de soutien à la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle utilisées par les parents et les intervenants scolaires lors de la transition.» (p. 34)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Pour cette étude, «neuf élèves ayant une déficience intellectuelle (5 garçons et 4 filles) ont été recrutés […] ainsi que neuf parents et six intervenants scolaires (trois enseignants étaient rattachés à deux élèves), pour un nombre total de 24 participants dans cinq commissions scolaires [de plusieurs régions du Québec].» (p. 72)
Type de traitement des données : Analyse statistique Analyse de contenu
3. Résumé
«Les informations recueillies situent la participation des élèves ayant une déficience intellectuelle à leur processus de transition selon quatre thèmes: leur point de vue sur leur trajectoire et leurs activités futures, leur participation à la planification de la transition, leur participation à des activités préparatoires à une vie active après la scolarisation et l’exercice de responsabilités.» (p. iii) «Les résultats de l’évaluation du réseau de soutien social montrent que les élèves sont bien entourés dans les milieux scolaire et familial […]. En plus des parents dans tous les cas, la fratrie de certains élèves de la présente étude leur offre différentes formes de soutien, en particulier du soutien émotionnel.» (p. 132) Ainsi, l’auteure mentionne que le «soutien de la famille est essentiel pour permettre aux élèves de participer de manière optimale à leur processus de transition […] et dans la vie adulte […].» (p. 151) Cependant, concernant l’insertion professionnelle, les «parents semblent laisser en bonne partie la responsabilité de la formation au travail et de la réussite de la transition à l’école. [L]a contribution des parents se limite dans la plupart des cas à participer au plan d’intervention et à encourager leur enfant dans la réalisation de ses engagements. Ce constat soulève la nécessité de collaboration entre la famille et l’école […].» (p. 150)