Le choix de l’école lors de la transition primaire-secondaire par les parents non-migrants à Montréal

Le choix de l’école lors de la transition primaire-secondaire par les parents non-migrants à Montréal

Le choix de l’école lors de la transition primaire-secondaire par les parents non-migrants à Montréal

Le choix de l’école lors de la transition primaire-secondaire par les parents non-migrants à Montréals

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Référence bibliographique [20682]

Castonguay-Payant, Justine. 2017. «Le choix de l’école lors de la transition primaire-secondaire par les parents non-migrants à Montréal ». Sens public, p. 1-20.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteure aborde «la pratique du choix de l’école secondaire francophone lors de la transition primaire-secondaire par les parents non-migrants résidant dans la région de Montréal» (p. 3) et propose quelques théories et concepts pour mieux saisir le phénomène.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Analyse théorique

3. Résumé


En ce qui concerne le rôle social du parent, l’auteure mentionne notamment que, «[q]uel que soit le type de famille, l’accompagnement des parents, dans lequel peuvent s’inscrire les objectifs familiaux comme celui de la reproduction de la hiérarchie sociale, peut déborder sur l’école par le biais de l’implication de la famille. Cet engagement parental envers l’école peut prendre plusieurs formes, comme le fait de s’annexer à la vie associative, entretenir des rencontres avec le personnel enseignant, mais aussi, par le biais du choix d’une école se rapprochant des valeurs familiales.» (p.11) Concernant le choix, on peut y lire que «la liberté de choix suggère que “les familles sont libres de choisir un établissement scolaire en fonction de leurs convictions philosophiques et religieuses”. Or, [l’auteure rappelle] que cette “liberté de choisir” au Québec est bien souvent contrainte, régulée et encadrée par des politiques de natures diverses. Le choix de l’école n’est donc pas, mises à part certaines exceptions, complètement libre.» (p. 13) Finalement, l’auteure explique que «[l]es choix scolaires, bien qu’ils s’avèrent très souvent contraints, sont également orientés en fonction du capital culturel et économique dont peut disposer la famille. […] Puisque les familles sont inégalement dotées en capital culturel, leur choix serait largement tributaire des “conditions culturelles et matérielles” dans lesquelles elles vivent, quel que soit le pays ou la région.» (p. 14)