Bénéfices et coûts des centres de la petite enfance du Québec

Bénéfices et coûts des centres de la petite enfance du Québec

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Bénéfices et coûts des centres de la petite enfance du Québecs

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Référence bibliographique [2064]

Cleveland, Gordon. 2008. «Bénéfices et coûts des centres de la petite enfance du Québec». Dans Les services de garde éducatifs à la petite enfance du Québec : recherches, réflexions et pratiques , sous la dir. de Nathalie Bigras et Cantin, Gilles, p. 27-40. Québec: Presses de l’Université du Québec, Collection Éducation à la petite enfance.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’auteur de ce chapitre entend «[...] présenter les réformes des services de garde d’enfants au Québec et leur incidence positive sur le bien-être de la société [...]» (p.28) d’un point de vue économique.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


L’auteur soutient que, «[...] considérés conjointement, les résultats directs et indirects [c’est-à-dire fondés sur des déductions tirées d’expériences à l’extérieur du Québec] permettent de brosser un tableau convaincant de l’apport du système québécois de services de garde et d’éducation à la petite enfance au bien-être de la société.» (p.28) Il répond aux principales critiques qui sont adressées au services de garde du Québec, en soulignant que «[...] de nombreuses études indiquent que des services de garde de qualité profitent à tous les enfants, et particulièrement aux enfants de familles à faible revenu. Les bénéfices sont d’ordre cognitif, scolaire, social et comportemental. [...] Aussi, il semble que la réforme des services de garde à contribution réduite du Québec a grandement contribué à réduire les barrières à l’emploi pour les mères d’enfants de 4 ans et moins. On évalue en effet qu’en quelques années les réformes des services de garde ont entraîné une hausse du taux d’emploi de ce groupe de femmes, qui est passé de 61% à 69% - soit d’un pourcentage inférieur à la moyenne canadienne à un pourcentage supérieur.» (p.38)