1. Objectifs

Intentions :
«Cette thèse porte sur les organismes privés de bienfaisance s’adressant aux anglophones de Québec entre 1759 et 1900. L’étude offre un portrait des différents organismes, des besoins auxquels ceux-ci répondent et des lacunes dans le réseau d’assistance.» (p. iii)

2. Méthode

Échantillon/Matériau :
L’auteur a utilisé la base Population et histoire sociale de la ville de Québec afin de repérer des documents produits entre 1852 et 1911. Il a également mobilisé les fonds d’archives de plusieurs organisations charitables par le biais de la Bibliothèque et Archives nationales du Québec, ainsi que plusieurs archives gouvernementales. Plusieurs types d’autres sources ont constitué son corpus documentaire, tels que des articles de journaux et de périodiques.

Type de traitement des données :
Analyse de contenu
Réflexion critique

3. Résumé

«Au cours de la période étudiée, le rôle des organismes privés d’assistance s’accroît, alors que celui de l’État décroît. La compassion envers les pauvres augmente, engendrant de nouvelles organisations charitables pour les populations les plus marginalisées.» (p. iii) The results demonstrate that in Quebec City, during «the 50 years after the British Conquest, […] the needy were usually helped through their extended family networks, as was the case in the pre-Conquest period. When family networks failed, especially in times of crisis, the different churches occasionally pitched in, at times even cooperating together and with residents of all religious denominations in city-wide collections.» (p. 33-34) Also, «The Female Compassionate Society […], founded in 1820, was the first major benevolent lay women’s association in Quebec City. It looked after “distressed lying-in married women,” otherwise known as poor married pregnant women, and mothers with newborn babies. The Society distributed baby linen, tea, food, and soap, it loaned maternity wear, and provided medical advice when needed. […] The organization claimed it helped upwards of 1,279 women in its first decade, many of who might have died without the help offered.» (p. 64)