Autisme et alimentation : miser sur les forces de la famille

Autisme et alimentation : miser sur les forces de la famille

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Autisme et alimentation : miser sur les forces de la familles

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Référence bibliographique [20517]

Pariseau-Legault, Pierre et Banville, Maxime. 2019. «Autisme et alimentation : miser sur les forces de la famille». Dans Autisme : ces réalités sociales dont il faut parler , sous la dir. de Catherine Des Rivières-Pigeon, p. 81-92. Montréal: Éditions du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Le présent chapitre traite de l’importance du savoir expérientiel des familles, en particulier de celui des mères, afin de répondre aux besoins alimentaires des enfants autistes.» (p. 91)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Ce chapitre montre comment «l’alimentation et les repas constituent une expérience sociale pour l’enfant et pour sa famille. Le repas est une expérience qui touche notamment aux règles relatives aux “saines habitudes de vie”, ce qui peut rendre ce moment difficile pour les parents qui peinent à respecter ces règles dans le cadre de l’alimentation de leur enfant autiste. Le repas est également une occasion de socialisation. Il constitue une “routine” ou un “rituel” ancré dans le quotidien de plusieurs familles. Il est donc nécessaire de tenir compte de toutes les dimensions de l’expérience “repas” pour comprendre les particularités alimentaires de l’enfant et intervenir adéquatement. Lorsqu’on ne tient pas compte des expériences particulières vécues par les parents d’enfants autistes, cela peut mener au développement d’interventions nutritionnelles difficilement applicables ou peu acceptables, en plus de créer, chez les parents, un sentiment de culpabilité. [Dans l’ensemble, cette étude montre] comment une approche relationnelle de l’alimentation peut contribuer à valoriser l’expertise des familles lorsqu’elles doivent s’adapter aux particularités alimentaires de l’enfant.» (p. 90-91)