La démographie au cours des cinquante dernières années : l’évolution de la discipline et l’analyse des changements des comportements de la société québécoise

La démographie au cours des cinquante dernières années : l’évolution de la discipline et l’analyse des changements des comportements de la société québécoise

La démographie au cours des cinquante dernières années : l’évolution de la discipline et l’analyse des changements des comportements de la société québécoise

La démographie au cours des cinquante dernières années : l’évolution de la discipline et l’analyse des changements des comportements de la société québécoises

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Référence bibliographique [20508]

Légaré, Jacques. 2017. La démographie au cours des cinquante dernières années : l’évolution de la discipline et l’analyse des changements des comportements de la société québécoise. Montréal: HEC Montréal.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Dans cet acte de conférence, l’auteur commente «l’évolution des comportements démographiques de la société québécoise, dans le contexte de la Révolution tranquille… et après.» (p. 11)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


Après avoir fait une brève description de l’évolution de la discipline démographique, l’auteur analyse les changements de comportements de la société québécoise. Au sujet de la famille et du couple, il se penche sur les questions de la croissance de la population, de la formation des couples, de la reproduction, de la contraception et de l’avortement ainsi que de la fécondité. Concernant la croissance de la population, l’auteur mentionne qu’au Québec, «la croissance de la population avait été relativement importante pendant le baby-boom (1946-1965). Depuis, nous avons observé une croissance faible de la population […].» (p. 20) Relativement à la nuptialité, «les modes de vie en couple sont très diversifiés. Du mariage universel, nous avons découvert l’union libre. […] Jadis, on observait une très grande stabilité des unions, une stabilité des mariages, tout au moins apparente - certains vivant des situations de concubinage. Nous sommes passés de cette stabilité apparente à une fragilité des unions qui se traduit par de nombreuses séparations; d’autant plus que les couples ont accès au divorce depuis 1968.» (p. 21) En ce qui concerne la reproduction, l’auteur mentionne que les familles québécoises sont de moins en moins nombreuses, ce qui peut notamment être expliqué par la diversification des moyens de contraception et par la démocratisation de l’avortement.