Logement dans l’Inuit Nunangat : nous pouvons faire mieux! Rapport du Comité sénatorial permanent des peuples autochtones

Logement dans l’Inuit Nunangat : nous pouvons faire mieux! Rapport du Comité sénatorial permanent des peuples autochtones

Logement dans l’Inuit Nunangat : nous pouvons faire mieux! Rapport du Comité sénatorial permanent des peuples autochtones

Logement dans l’Inuit Nunangat : nous pouvons faire mieux! Rapport du Comité sénatorial permanent des peuples autochtoness

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Référence bibliographique [20435]

Dyck, Lillian Eva et Patterson, Dennis Glen. 2017. Logement dans l’Inuit Nunangat : nous pouvons faire mieux! Rapport du Comité sénatorial permanent des peuples autochtones. Ottawa: Gouvernement du Canada, Parlement du Canada, Sénat.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Dans le présent rapport, [les auteurs définissent] des mesures à l’appui de solutions intégrées et communautaires qui tiennent encore mieux compte de la culture inuite et du climat de l’Inuit Nunangat. [L]a pénurie chronique de logements conjuguée à la croissance de la population de jeunes […] oblige à intervenir maintenant, d’une part pour enrayer la vulnérabilité d’un trop grand nombre de familles inuites, laquelle résulte du manque de logements et, d’autre part, pour veiller à ce que les générations futures d’Inuits puissent réaliser leurs aspirations.» (p. 5)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Dans l’ensemble de leurs territoires ancestraux, les Inuits font face à une grave crise du logement qui menace leur santé et leur sécurité. Cette pénurie de logements chronique est considérée comme l’une des urgences de santé publique les plus criantes au pays. En raison des logements surpeuplés et de qualité inférieure aux normes, et du manque d’options abordables et convenables en matière de logement, l’itinérance guette de nombreuses familles d’Inuits – une situation troublante dans un des climats les plus rigoureux de la planète. Au Nunavik seulement, plus de la moitié des familles inuites habitent des logements surpeuplés. Dans maintes collectivités, jusqu’à 15 personnes, incluant de jeunes enfants s’entassent dans de petites unités délabrées de trois chambres à coucher. Ces conditions ont des effets profondément troublants, notamment sur les enfants. Le surpeuplement entraîne de hauts niveaux de violence et d’agressions et place les enfants dans des situations de vulnérabilité inacceptables.» (p. 5)