La participation sociale des aînés gais et lesbiennes : analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’intervention

La participation sociale des aînés gais et lesbiennes : analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’intervention

La participation sociale des aînés gais et lesbiennes : analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’intervention

La participation sociale des aînés gais et lesbiennes : analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’interventions

| Ajouter

Référence bibliographique [20377]

Beauchamp, Julie. 2018. «La participation sociale des aînés gais et lesbiennes : analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale, et développement d’un outil d’intervention». Thèse de doctorat, Montréal, Unviversité du Québec à Montréal, Département de sexologie.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette thèse porte sur les expériences de participation sociale des aînés gais et lesbiennes par l’analyse des dimensions identitaire, relationnelle et sociale afin de pouvoir développer un outil d’intervention favorisant cette participation.» (xiv) Seul l’article C fera l’objet d’une fiche dans Famili@. Celui-ci «explore les significations que les aînés gais et lesbiennes associent à leurs relations sociales et les facteurs ayant un impact sur leur réseau social.» (p. 132)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«L’analyse est basée sur la réalisation de vingt-deux entrevues [….] auprès d’adultes vieillissants gais et lesbiennes âgés de 60 ans et plus.» (p. 132) Ceux-ci proviennent de la région métropolitaine de Montréal.

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Il ressort des propos des participants la priorité accordée à leur partenaire pour ceux et celles qui sont en couple. L’importance du partenaire met en lumière la saillance du rôle de ce dernier dans leur vie comme source d’émotions positives au cours du vieillissement. […]. En ce qui a trait aux participants célibataires, plus de la moitié désirent rencontrer un partenaire pour partager des moments ensemble. La barrière de l’âge et le manque d’endroits pour faire des rencontres sont soulevés comme étant des contraintes pouvant restreindre les possibilités de rencontres […].» (p. 154) En outre, «les types de réseau social qui ressortent de l’analyse sur la composition des membres du réseau social des participants sont: le réseau diversifié (partenaire, amis, famille, enfants), le réseau diversifié/pas d’enfants et le réseau centré sur les amis/type restrictif. […] Le fait que la moitié des participants soit en relation de couple et que la majorité d’entre eux ont des relations harmonieuses et sont proches de leur famille d’origine en général ou de certains membres de leur famille d’origine peut venir expliquer ce constat. Cela dit, on retrouve également dans les résultats l’importance accordée aux amis, représentant pour quelques participants une famille de choix “qui remplace tout”, ce qui est en accord avec la littérature à ce sujet […].» (p. 154-155)