La violence familiale au Canada : un profil statistique, 2016
La violence familiale au Canada : un profil statistique, 2016
La violence familiale au Canada : un profil statistique, 2016
La violence familiale au Canada : un profil statistique, 2016s
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Référence bibliographique [20330]
Burczycka, Marta et Conroy, Shana. 2018. La violence familiale au Canada : un profil statistique, 2016. Ottawa: Gouvernement du Canada, Centre canadien de la statistique juridique, Statistique Canada, No 85-002-X au catalogue.
Intentions : «[C]e rapport fournit des données actuelles sur la nature et l’étendue de la violence familiale au Canada, ainsi qu’une analyse des tendances au fil du temps.» (p. 3)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : Cette édition du rapport «comprend une analyse approfondie du harcèlement criminel autodéclaré au Canada au moyen des données de l’Enquête sociale générale de 2014 sur la sécurité des Canadiens […].» (p. 3)
Instruments : Questionnaire
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
Selon les données de cette étude, parmi «les provinces, les taux de violence familiale étaient les plus élevés en Saskatchewan (498 victimes pour 100 000 personnes), au Manitoba (379) et au Québec (315). Comme dans le cas des taux de crimes violents dans l’ensemble, les taux de violence familiale observés dans les territoires étaient supérieurs à la moyenne canadienne (239). Les taux de violence familiale les plus faibles ont été enregistrés à l’Île-du-Prince-Édouard (135), en Ontario (148) et en Colombie-Britannique (199). Sauf pour ce qui est du taux relativement élevé de violence familiale au Québec, les provinces et les territoires qui affichaient les taux de violence familiale les plus élevés ou les plus faibles présentaient aussi des taux plus élevés ou plus faibles de crimes violents dans l’ensemble en 2016 […]. Parmi les différentes RMR [régions métropolitaines de recensement], les taux de violence familiale étaient particulièrement élevés dans celles du Québec: Trois-Rivières (334 victimes pour 100 000), Saguenay (330) et Gatineau (314) affichaient les taux les plus élevés. En effet, 5 des 6 RMR québécoises figuraient parmi les 10 RMR ayant inscrit les taux de violence familiale les plus élevés au Canada (à l’exception de Sherbrooke, dont le taux s’établissait à 170).» (p. 48-49)