Effet du stress parental sur la relation entre la prématurité et les comportements internalisés de l’enfant né à moins de 29 semaines de gestation
Effet du stress parental sur la relation entre la prématurité et les comportements internalisés de l’enfant né à moins de 29 semaines de gestation
Effet du stress parental sur la relation entre la prématurité et les comportements internalisés de l’enfant né à moins de 29 semaines de gestation
Effet du stress parental sur la relation entre la prématurité et les comportements internalisés de l’enfant né à moins de 29 semaines de gestations
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Référence bibliographique [20289]
Faleschini, Sabrina. 2017. «Effet du stress parental sur la relation entre la prématurité et les comportements internalisés de l’enfant né à moins de 29 semaines de gestation». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, École de psychologie.
Intentions : «L’objectif principal de ce mémoire est de tester quel modèle, entre un modèle de médiation et un modèle de modération, explique le mieux le rôle du stress parental dans l’association entre la prématurité et les comportements internalisés d’enfants de 5 ans nés à moins de 29 semaines de gestation. L’objectif secondaire consiste à vérifier quel indicateur de la sévérité de la prématurité, entre l’âge gestationnel et l’état physiologique néonatal, parvient le mieux à prédire le stress parental et les comportements internalisés de l’enfant.» (p. 13)
Questions/Hypothèses : Concernant l’objectif secondaire, «[l]’hypothèse est que l’état physiologique de l’enfant à la naissance sera un meilleur prédicteur que l’âge gestationnel.» (p. 13)
2. Méthode
Échantillon/Matériau : «Les participants sont 118 enfants nés à moins de 29 semaines de gestation et leurs parents.» (p. 15) Les participants ont été recrutés par l’entremise des Centres hospitaliers universitaires de Québec et de Sainte-Justine.
Instruments : Questionnaire
Type de traitement des données : Analyse statistique
3. Résumé
«Les résultats démontrent qu’aucun des modèles testés n’est parvenu à prédire les difficultés ultérieures de l’enfant: le stress parental n’est ni un médiateur ni un modérateur de la relation entre la prématurité et les comportements internalisés. De plus, ni l’âge gestationnel ni l’état physiologique néonatal n’est associé aux comportements internalisés. Le stress parental s’est avéré significativement associé aux comportements internalisés de l’enfant. Ce mémoire supporte l’idée que les pratiques parentales, notamment le stress des parents, ont une influence sur les problèmes de comportement des enfants, mais pas l’hypothèse voulant que le stress parental fasse partie du processus explicatif liant la prématurité et aux comportements internalisés. Les résultats permettent de souligner l’importance de détecter, tôt dans le développement des enfants, les pratiques parentales à risque d’influencer négativement leur développement.» (p. iii)