Évaluation des effets d’un programme d’éveil sensoriel au goût sur la reconnaissance d’aliments, les attitudes et le comportement alimentaire d’enfants dans la région de Sherbrooke

Évaluation des effets d’un programme d’éveil sensoriel au goût sur la reconnaissance d’aliments, les attitudes et le comportement alimentaire d’enfants dans la région de Sherbrooke

Évaluation des effets d’un programme d’éveil sensoriel au goût sur la reconnaissance d’aliments, les attitudes et le comportement alimentaire d’enfants dans la région de Sherbrooke

Évaluation des effets d’un programme d’éveil sensoriel au goût sur la reconnaissance d’aliments, les attitudes et le comportement alimentaire d’enfants dans la région de Sherbrookes

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Référence bibliographique [20275]

Prévost, Jasmine. 2016. «Évaluation des effets d’un programme d’éveil sensoriel au goût sur la reconnaissance d’aliments, les attitudes et le comportement alimentaire d’enfants dans la région de Sherbrooke». Mémoire de maîtrise, Québec, Université Laval, Département de médecine sociale et préventive.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Les objectifs de l’étude sont de décrire 1) les effets des ateliers sur la reconnaissance des aliments, l’envie de goûter et le comportement alimentaire quant à la diversité du choix alimentaire, et de décrire 2) le comportement alimentaire des enfants tel que perçu par leurs parents.» (p. iii)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de 61 enfants et de leurs parents (région de Sherbrooke, Estrie). «Trois méthodes de collecte des données auprès des enfants et des parents ont été appliquées. Il s’agit du test-photo, de l’épreuve du banquet-collation ainsi que du questionnaire parental.» (p. 29)

Instruments :
Questionnaire (parents)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


Les résultats montrent que «les ateliers ont favorisé la reconnaissance des aliments et l’attitude envers l’envie de goûter à de nouveaux aliments. L’éveil sensoriel au goût semble une avenue prometteuse pour favoriser la reconnaissance d’aliments, encourager la diversité ainsi que l’acquisition de saines habitudes alimentaires.» (p. iii) Quant aux perceptions parentales, l’auteure remarque que «[p]our les parents, le repas est davantage une occasion de socialiser entre famille et de se détendre que de se sentir contraint, tendu, stressé et paniqué selon les scores obtenus. […] Il est intéressant de constater que les scores les plus élevés obtenus dans le questionnaire touchent la santé. [L]es parents sont [donc] très soucieux d’acheter des aliments qu’ils jugent ‘bons pour la santé’. […] En outre, les parents veillent à ce que les aliments qu’ils achètent soient naturels et peu transformés, car le score naturalité des aliments est parmi les plus élevés de cette section du questionnaire.» (p. 80) «Les styles parentaux ont aussi été documentés. Le style parental ayant le score le plus élevé dans cette étude tant pour le groupe expérimental que témoin, est le style démocratique. […] Le style parental ayant le score le plus bas dans cette étude est le style autoritaire tant dans le groupe expérimental que le groupe témoin et tant au temps de mesure pré que post.» (p. 81)