Les stratégies de gestion du temps chez les travailleurs autonomes
Les stratégies de gestion du temps chez les travailleurs autonomes
Les stratégies de gestion du temps chez les travailleurs autonomes
Les stratégies de gestion du temps chez les travailleurs autonomess
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Référence bibliographique [2021]
Di Loreto, Martine. 2008. «Les stratégies de gestion du temps chez les travailleurs autonomes». Mémoire de maîtrise, Montréal, Université du Québec à Montréal, École des sciences de la gestion, Administration des affaires.
Intentions : «[...] [L]e but de la présente recherche est de cerner les différentes stratégies utilisées par les travailleurs autonomes pour gérer leur temps et concilier leurs responsabilités professionnelles et familiales ou personnelles.» (p.14)
Type de traitement des données : Analyse de contenu Analyse statistique
3. Résumé
«En dépit du fait que le statut d’autonome revête plusieurs caractéristiques du sousemploi, certains travailleurs autonomes le choisissent parce qu’il leur permet une plus grande marge de manœuvre en ce qui concerne l’organisation du travail et la conciliation entre la vie professionnelle et la vie personnelle, voire familiale. [...] À partir du témoignage de 256 professionnels québécois œuvranl à titre de travailleurs autonomes à leur propre compte et qui ne dépendent pas d’un seul client, [...] le présent mémoire cherche à cerner les différentes stratégies utilisées par les travailleurs autonomes pour gérer leur temps et concilier leurs responsabilités professionnelles et personnelles ou familiales. En particulier, cela concerne la manière dont ils adaptent les différentes formules d’aménagement et de réduction du temps de travail à leur statut d’emploi, ainsi que la façon dont ils utilisent la flexibilité d’horaire. Les résultats dévoilés témoignent d’une pluralité de profils chez les travailleurs autonomes, ce qui correspond à une diversité des formes d’aménagement du temps de travail. En conséquence, les écarts dans le temps de travail des individus se reflètent sur le revenu et sur la satisfaction professionnelle. Par exemple, si les heures de travail plus courtes sont liées à un revenu moins élevé, elles sont par contre associées à un plus haut niveau de satisfaction professionnelle que les longues heures de travail. [...] [O]n note également que les travailleurs autonomes qui exercent davantage de contrôle sur leur temps de travail présentent un plus haut niveau de satisfaction au travail.» (p.xi)