La violence dans les relations amoureuses des jeunes

La violence dans les relations amoureuses des jeunes

La violence dans les relations amoureuses des jeunes

La violence dans les relations amoureuses des jeuness

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Référence bibliographique [20082]

Hébert, Martine, Lapierre, Andréanne, Lavoie, Francine, Fernet, Mylène et Blais, Martin. 2017. «La violence dans les relations amoureuses des jeunes». Dans Rapport québécois sur la violence et la santé , p. 98-129. Montréal: Gouvernement du Québec, Institut National de santé publique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Dans le cadre de ce chapitre, nous présenterons prioritairement les travaux portant sur [la violence dans les relations amoureuse pour] le groupe des 14-17 ans, tout en présentant les travaux portant sur des jeunes qui ont au plus 25 ans lorsque ces travaux sont pertinents.» (p. 99)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Données documentaires diverses

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Les enquêtes révèlent que plus du quart des jeunes Québécois ont subi ou infligé de la violence dans le cadre d’une relation amoureuse. La proportion variant selon le sexe et la forme de violence considérée. […] La violence dans les relations amoureuses est fréquente chez les jeunes Québécois, tant chez les garçons que chez les filles. Cependant, ces dernières rapportent davantage d’épisodes de violence, plusieurs formes de violence en cooccurrence, et sont davantage victimes de violence sexuelle.» (p. 98) «Plusieurs facteurs liés au milieu familial, aux pairs, au milieu scolaire, ainsi qu’au quartier ou à la communauté ont été identifiés par les études longitudinales comme augmentant le risque qu’ont les adolescents d’être victimes de VRA. [Concernant les facteurs familiaux, avoir] été maltraité durant l’enfance est associé à un risque plus élevé d’être revictimisé dans le contexte des relations amoureuses […]. Une autre forme de violence que vivent les jeunes au sein de leur famille est l’exposition à la violence conjugale; ceux qui y sont exposés sont plus à risque d’être ultérieurement victimes de VRA […]. Certains facteurs liés au milieu familial permettent de prédire uniquement la victimisation des garçons. Ainsi, avoir des parents qui font peu de démonstrations affectives ou avoir une mère qui a des problèmes de santé mentale […] sont des caractéristiques de la famille qui augmentent le risque qu’a un jeune d’être victime de VRA.» (p. 106)