Positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011. Montréal

Positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011. Montréal

Positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011. Montréal

Positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011. Montréals

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Référence bibliographique [20076]

Gravel, Marie-Andrée, Crespo, Stéphane, Lapointe, France et Courtemanche, Robert. 2016. Positionnement de la région et des territoires de centres locaux d’emploi d’après l’indice de défavorisation matérielle et sociale, 2011. Montréal. Québec: Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«En permettant d’identifier les populations défavorisées, cette publication a pour objectif principal de guider les interventions régionales et locales dans la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale.» (p. 7)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’étude est basée sur «des données du Recensement de 2011 et de l’Enquête nationale auprès des ménages de 2011 (Statistique Canada).» (p. 7)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


L’étude «présente un des indicateurs relatifs à la pauvreté pour l’ensemble du Québec et ses régions, ainsi que pour les territoires des centres locaux d’emploi (CLE) de la région de Montréal.» (p. 7) Concernant l’indice de défavorisation sociale, les auteurs écrivent qu’«[e]n ce qui a trait à la variation des structures familiales et de l’état matrimonial évaluée par la dimension sociale de l’indice de défavorisation, les CLE de Sainte-Marie-Centre-Sud (49%), Hochelaga-Maisonneuve (48%) et Pointe-Saint-Charles (45%) se démarquent par une proportion de population considérée comme socialement très désavantagée plus élevée que la moyenne régionale. Ces trois territoires se caractérisent entre autres par une présence marquée des familles monoparentales en comparaison à l’ensemble de la population montréalaise. […] À l’opposé, le CLE de Saint-Léonard affiche la plus faible proportion de population dans le quintile supérieur de défavorisation sociale, soit seulement 6%. En comparaison à l’ensemble de la région, la faible proportion de personnes vivant seules, la présence prononcée des familles avec enfants ainsi que la taille importante des familles sont des éléments qui expliquent la faible défavorisation au plan social.» (p. 31) À noter que l’indice de défavorisation matérielle est sociale est basé sur une liste d’indicateurs, comme la proportion de personnes séparées, divorcées ou veuves, la proportion de familles monoparentales et la proportion de ménages composés de personnes vivant seules.