Les parents de la municipalité de Sainte-Élisabeth ne sont pas suffisamment actifs physiquement : rapport de recherche-action

Les parents de la municipalité de Sainte-Élisabeth ne sont pas suffisamment actifs physiquement : rapport de recherche-action

Les parents de la municipalité de Sainte-Élisabeth ne sont pas suffisamment actifs physiquement : rapport de recherche-action

Les parents de la municipalité de Sainte-Élisabeth ne sont pas suffisamment actifs physiquement : rapport de recherche-actions

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Référence bibliographique [20039]

Courchesne-Trudel, Philippe. 2017. Les parents de la municipalité de Sainte-Élisabeth ne sont pas suffisamment actifs physiquement : rapport de recherche-action. Joliette (Québec): Gouvernement du Québec, Direction santé publique, Centre intégré de santé et services sociaux de Lanaudière.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
L’étude vise à évaluer la qualité de l’alimentation et la fréquence de la pratique d’activité physique chez les parents de la municipalité de Sainte-Élisabeth.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de 32 parents (27 femmes) de la municipalité de Sainte-Élisabeth.

Instruments :
Questionnaires

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


En ce qui a trait à l’activité physique, les résultats «d’un sondage réalisé auprès de parents [montrent que] 68 % de tous ceux de la municipalité de Sainte-Élisabeth pratiquent moins de 3 fois par semaine des séances d’activité physique d’intensité moyenne à plus élevée dans leurs temps libres.» (p. 3) Il s’agit là, selon le chercheur, d’une occasion de promouvoir l’activité physique dans le cadre du projet Famille au Jeu. Concernant l’alimentation, les résultats montrent que «52 % des répondants de la municipalité de Sainte-Élisabeth consomment moins de 5 portions de légumes et de fruits quotidiennement et 25% n’atteignent pas la quantité recommandée par le Guide alimentaire canadien (version 2011) de 2 portions de lait et de produits laitiers par jour.» (p. 4) L’auteur y voit un prétexte pour favoriser la prise des repas en famille: «[l]orsque les parents et les enfants mangent ensemble, ils ont tendance à consommer davantage de fruits, de légumes, de céréales et d’aliments riches en calcium et moins d’aliments frits, de boissons gazeuses, de sucreries et d’aliments provenant de la restauration rapide. De plus, les enfants qui soupent plus souvent en famille présentent un risque plus faible d’excès de poids ou d’obésité. […] À Sainte-Élisabeth, 68 % des parents soupent souvent en famille.» (p. 4)