La santé des femmes de Lanaudière. Faits saillants et tableau de bord

La santé des femmes de Lanaudière. Faits saillants et tableau de bord

La santé des femmes de Lanaudière. Faits saillants et tableau de bord

La santé des femmes de Lanaudière. Faits saillants et tableau de bords

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Référence bibliographique [20019]

Guillemette, André et Garand, Christine. 2017. La santé des femmes de Lanaudière. Faits saillants et tableau de bord. Joliette (Québec): Gouvernement du Québec, Centre intégré de santé et de services sociaux de Lanaudière.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Le document offre un portrait statistique de la santé des femmes vivant dans la région de Lanaudière.

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les données utilisées proviennent d’études de l’Institut de la statistique du Québec, du ministère de la Santé et des Services sociaux, du Régime de l’assurance maladie du Québec et de Statistique Canada.

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


Le portrait statistique offert aborde des thématiques telles que la démographie, les conditions sociales et économiques, les habitudes de vie et comportements, la grossesse et la fécondité, l’état de santé physique et mental, la violence, et l’utilisation des services de santé. On peut y lire que «[l]a fécondité des Lanaudoises est vraisemblablement plus élevée que celle des Québécoises. Bien que leur indice synthétique de fécondité soit de 1,83 naissance vivante par femme, elles ont malgré tout une fécondité inférieure au seuil de renouvellement des générations. Ce seuil est de 2,1 enfants par femme. En considérant les naissances vivantes, les fausses couches et les interruptions volontaires de grossesse (IVG), l’indice synthétique de grossesse des Lanaudoises est de 2,38 grossesses par femme. Cette valeur semble être supérieure à celle des Québécoises. Près de 23 % des grossesses se terminent par une IVG.» (p. 3) En ce qui a trait aux chiffres concernant la violence, les données montrent que, «[d]ans Lanaudière en 2011, environ 1 800 femmes de 18 ans et plus ont été victimes de violence. Cela représente 961,3 cas déclarés auprès des services de police pour 100 000 femmes. Une fois sur deux, ces plaintes concernent la violence conjugale.» (p. 4)