La migration interrégionale au Québec en 2016-2017 : la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine parmi les régions gagnantes

La migration interrégionale au Québec en 2016-2017 : la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine parmi les régions gagnantes

La migration interrégionale au Québec en 2016-2017 : la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine parmi les régions gagnantes

La migration interrégionale au Québec en 2016-2017 : la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine parmi les régions gagnantess

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Référence bibliographique [19964]

St-Amour, Martine. 2018. «La migration interrégionale au Québec en 2016-2017 : la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine parmi les régions gagnantes ». Coup d’oeil sociodémographique, no 63, p. 1-20.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Ce bulletin présente les principaux résultats des migrations internes observées au Québec entre le 1er juillet 2016 et le 1er juillet 2017, à l’échelle des régions administratives et des municipalités régionales de comté (MRC).» (p. 1)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«Les statistiques de migration interne proviennent d’une compilation des données du Fichier d’inscription des personnes assurées (FIPA) de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ).» (p. 2)

Type de traitement des données :
Analyse statistique

3. Résumé


«Environ 202 500 personnes ont changé de région administrative de résidence au cours de l’année 2016-2017, soit 2,5% de la population québécoise (figure 1). Il s’agit d’une hausse par rapport aux quatre années précédentes, durant lesquelles le nombre de migrants était descendu sous la barre de 200 000.» (p. 1) En ce qui a trait à la migration des familles, les données montrent que l’exode hors de Montréal s’est accentué. L’auteure mentionne que «[s]i la région de Montréal est perdante dans tous les autres groupes d’âge, c’est chez les 0 14 ans et les 25-44 ans que le déficit est le plus important. Les pertes chez les 25-44 ans suggèrent que les migrations des jeunes adultes vers Montréal sont souvent de nature temporaire, qu’elles soient suivies d’un retour dans la région d’origine ou de l’installation dans une autre région, notamment dans les régions de la zone adjacente. Par ailleurs, le déficit marqué chez les 0-14 ans indique que les familles avec enfants demeurent plus nombreuses à quitter l’île qu’à s’y établir.» (p. 7) A contrario, ce sont les régions de Laval, de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie qui profitent de l’exode des Montréalais.