Attitudes parentales et traumatisme craniocérébral grave (TCC G) : étude des besoins des parents ayant subi un TCC G

Attitudes parentales et traumatisme craniocérébral grave (TCC G) : étude des besoins des parents ayant subi un TCC G

Attitudes parentales et traumatisme craniocérébral grave (TCC G) : étude des besoins des parents ayant subi un TCC G

Attitudes parentales et traumatisme craniocérébral grave (TCC G) : étude des besoins des parents ayant subi un TCC Gs

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Référence bibliographique [19573]

Michallet, Bernard et Hamelin, Anouchka. 2016. «Attitudes parentales et traumatisme craniocérébral grave (TCC G) : étude des besoins des parents ayant subi un TCC G ». Revue de Psychoéducation, vol. 45, no 1, p. 131-148.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette étude vise à présenter les difficultés et les besoins perçus par ces parents vivant avec les séquelles d’un TCC G [traumatisme craniocérébral grave], et à décrire les impacts de ces difficultés sur la vie familiale.» (p. 131)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Dans le cadre de cette recherche, «des groupes de réflexion ont été menés auprès de 13 parents ayant subi un TCC G, six proches et huit intervenants.» (p. 131) Les participants venaient des régions de la Mauricie et du Centre-du-Québec.

Instruments :
Guide d’entretien de groupe

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Les résultats obtenus au plan des difficultés vécues par les parents ayant subi un TCC G et leurs proches démontrent bien l’ampleur de la situation. Toutefois, la rigidité cognitive des parents TCC G ainsi que leurs difficultés à identifier les besoins des autres membres de la famille constituent des obstacles au changement. De plus, les résultats suggèrent que la peur d’un éventuel jugement de la part des professionnels du réseau public et communautaire entraîne une réticence du parent ayant subi un TCC G à demander formellement de l’aide. Ce faisant, cela provoque une responsabilité accrue de la part des proches pour tenter de compenser les difficultés vécues. Les changements relationnels sont alors inévitables ainsi que l’épuisement des proches. L’ensemble de la situation affecte le climat familial et le développement des enfants.» (p. 143)