La collaboration entre les parents et les travailleuses sociales oeuvrant dans une clinique spécialisée pour les premières psychoses : Une voie prometteuse pour établir un réel partenariat

La collaboration entre les parents et les travailleuses sociales oeuvrant dans une clinique spécialisée pour les premières psychoses : Une voie prometteuse pour établir un réel partenariat

La collaboration entre les parents et les travailleuses sociales oeuvrant dans une clinique spécialisée pour les premières psychoses : Une voie prometteuse pour établir un réel partenariat

La collaboration entre les parents et les travailleuses sociales oeuvrant dans une clinique spécialisée pour les premières psychoses : Une voie prometteuse pour établir un réel partenariats

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Référence bibliographique [19559]

Morin, Marie-Hélène et St-Onge, Myreille. 2016. «La collaboration entre les parents et les travailleuses sociales oeuvrant dans une clinique spécialisée pour les premières psychoses : Une voie prometteuse pour établir un réel partenariat ». Revue canadienne de service social / Canadian Social Work Review, vol. 33, no 2, p. 229-254.

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Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Nous proposons dans cet article de poser un regard sur les interventions familiales dans le contexte particulier d’un premier épisode psychotique (PEP) en traitant des liens de collaboration établis entre des parents et des travailleuses sociales œuvrant dans une clinique spécialisée dans l’intervention auprès de personnes en début d’évolution d’une psychose.» (p. 230)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
«L’échantillon final est composé de 58 parents qui ont un lien parental ou beau-parental avec le jeune adulte [présentant un début de psychose].» (p. 236) Les participants viennent de la ville de Québec.

Instruments :
Questionnaire

Type de traitement des données :
Analyse quantitative
Analyse qualitative

3. Résumé


«Les résultats de notre étude mettent en évidence que la collaboration repose sur le savoir-être des travailleuses sociales, de même que sur leurs savoirs théorique et d’expérience. L’engagement profond de ces intervenantes, voire même leur dévotion à l’égard des jeunes atteints de psychose et des parents, a eu un rôle important à jouer dans l’établissement d’une relation de collaboration. Les résultats obtenus lèvent également le voile sur certaines contraintes rencontrées dans la pratique, notamment la question de la confidentialité qui peut nuire à l’établissement de liens de collaboration ou à tout le moins, à la réponse aux besoins des membres de la famille qui exercent un rôle de soutien.» (p. 249) Plus précisément, «la question de la confidentialité est l’obstacle qui a été mentionné le plus fréquemment par les parents. Certains ont mentionné que le fait que leur enfant soit majeur, que son consentement soit nécessaire afin qu’ils puissent s’engager dans l’intervention ainsi que la confidentialité évoquée par les intervenantes ont entraîné des réticences à partager l’information entre les parents et les travailleuses sociales.» (p. 243)