L’évaluation psychologique des capacités parentales en contexte de protection de la jeunesse et observation des interactions parent-enfant

L’évaluation psychologique des capacités parentales en contexte de protection de la jeunesse et observation des interactions parent-enfant

L’évaluation psychologique des capacités parentales en contexte de protection de la jeunesse et observation des interactions parent-enfant

L’évaluation psychologique des capacités parentales en contexte de protection de la jeunesse et observation des interactions parent-enfants

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Référence bibliographique [19484]

Baudry, Claire, Lessard, Julie, Tarabulsy, George M., Servot, Sabrina, Roberge, Annie et Poitras, Karine. 2016. «L’évaluation psychologique des capacités parentales en contexte de protection de la jeunesse et observation des interactions parent-enfant». Dans L’enfant et le litige en matière de protection : psychologie et droit , sous la dir. de Karine Poitras, Baudry, Claire et Goubau, Dominique, p. 91-115. Québec: Presses de l’Université du Québec.

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
Ce chapitre dresse «le portrait de l’évaluation psychologique des capacités parentales [en contexte de protection de la jeunesse], des outils et des modèles disponibles et de l’observation des interactions parent-enfant comme mesure privilégiée du comportement parental et du fonctionnement de la dyade parent-enfant.» (p. 108)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
Les auteurs utilisent plusieurs études nord-américaines et québécoises récentes pour présenter différents outils d’évaluation des compétences parentales.

Type de traitement des données :
Réflexion critique

3. Résumé


«Pour conclure, il semble que des efforts supplémentaires doivent être effectués pour assurer 1) une meilleure formation des psychologues relativement à l’évaluation des capacités parentales et à l’observation des interactions parent-enfant, 2) l’avancement des travaux de recherche dans le domaine de la protection de la jeunesse pour offrir des services d’évaluation et d’intervention de qualité en ce qui concerne les besoins des familles et 3) un travail de sensibilisation des avocats et des juges pour qu’ils connaissent et reconnaissent la place de la sensibilité parentale et des interactions parent-enfant dans les évaluations, mais aussi dans les interventions servant ultimement l’intérêt de l’enfant.» (p. 110)