Une perspective écosystémique sur l’expérience de jeunes pères : du test de grossesse à la première bougie

Une perspective écosystémique sur l’expérience de jeunes pères : du test de grossesse à la première bougie

Une perspective écosystémique sur l’expérience de jeunes pères : du test de grossesse à la première bougie

Une perspective écosystémique sur l’expérience de jeunes pères : du test de grossesse à la première bougies

| Ajouter

Référence bibliographique [19457]

Deslauriers, Jean-Martin. 2016. «Une perspective écosystémique sur l’expérience de jeunes pères : du test de grossesse à la première bougie ». Intervention, no 144, p. 77-90.

Accéder à la publication

Fiche synthèse

1. Objectifs


Intentions :
«Cette recherche exploratoire a pour but d’établir un portrait des jeunes hommes ayant un enfant avec une mère de moins de 20 ans et de documenter leur expérience, depuis l’annonce de la grossesse jusqu’à ce que leur enfant soit âgé d’un an.» (p. 77)

2. Méthode


Échantillon/Matériau :
L’échantillon est composé de 30 futurs pères dont la conjointe «s’inscrivait au programme SIPPE (Services Intégrés en Périnatalité et Petite Enfance) dans un secteur de la ville de Gatineau.» (p. 79)

Instruments :
Guide d’entretien semi-directif

Type de traitement des données :
Analyse de contenu

3. Résumé


«Lors de l’annonce de la grossesse, tous les participants se sont dits préoccupés par la nouvelle. Quant à la décision de garder ou non l’enfant, on retrouve une acceptation clairement exprimée ou une acceptation résignée de la décision de la mère. Pour ces derniers, l’expression ''ne pas avoir eu le choix'' est plus présente. […] La majorité des participants qui sont en couple avec la mère exprime un haut niveau de satisfaction à l’égard de leur relation avec elle. De plus, certains affirment que l’arrivée de leur enfant a solidifié leur relation, qu’elle est devenue plus importante pour eux. D’ailleurs, les pères encore en couple considèrent que le bien- être de l’enfant passe par la qualité de la relation avec la mère. On tente alors de moins se disputer et de ne pas le faire devant l’enfant […].» (p. 80)